Courses
Vous voulez connaître les courses, les voici!
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- Checklistes - infos pratiques
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Lu 26 mai 2025
Deux jours au Glacier d'Aletsch
Pour ce weekend à Aletsch la météo incertaine dans les Alpes Bernoises nous a finalement conduit à nous rendre au fond du saastal vers la Brittania hutte…de la un large choix de courses s’offrira à nous!
Nous décidons de monter à ski depuis Saas fe car le portage est court et on a toute la journée devant nous pour arriver à la cabane! Les pistes sont fermées donc on profite de la vue des 4000 qui nous entourent et on monte gentiment les 1300m de dénivelé qui nous séparent à la cabane! Il faisait très chaud malgré une météo changeante alternant chaud froid par moment …demain la météo sera meilleure normalement!
Arrivés à la cabane et après avoir étudié plusieurs variantes nous décidâmes de nous attaquer au Strahlhorn le lendemain mais la météo ne s’annonçant finalement pas si clémente on savait que le sommet serait un joli bonus!
Effectivement au réveil un lever brouillard entoure la cabane mais pas assez épais pour nous décourager. En effet la visibilité est bonne et on décide d’aller chercher le soleil plus haut!
La course commence par une courte descente pour arriver sur le glacier et commencer l’ascension. Le glacier est bien bouché en cette fin mai mais on s’encorde tout de suite par mesure de sécurité. La montée vers l’Adlerpass est douce et continue…on avance à rythme constant mais le soleil peine à percer et le vent fait son apparition…une centaine de mètres avant le col, le vent au sommet et sur nos joues et un soleil qui joue à cache cache nous pousse à prendre la sage décision de nous arrêter et de faire demi tour. Il est encore tôt mais cette sortie bonus de fin de saison était déjà un joli cadeau et avec un super groupe et un chef de course au top!
On reviendra le faire ce Strahlhorn et ces cousins 4000 d’à côté! Merci encore Julien et vivement l’hiver prochain!







Di 18 mai 2025
Mont Chauffé, traversée d'arêtes
Dimanche 18 mai 2025 – Arête du Mont Chauffé
Départ 08h45 du "parking sauvage" dans la vallée d’abondance (France) sous les instructions de notre chef de Course Marc Vuadens. Après une heure de marche ponctuée par une rencontre un chamois nous arrivons au pied de l’arête du Mont Chauffé.
On s’équipe : baudriers, mousquetons, cordes, et check de binômes. Ambiance sérieuse mais détendue.
La progression s’entame : lente, sûre, et par moments un peu acrobatique. C’est un mélange de grimpe, d’assurages et de rappels qui nous font progresser.
Pause sandwichs au milieu de la traversée, une barre énergétique douteuse, et c’est reparti. L’arête se dresse devant nous, quelques passages de grimpes plus raides, et soudain : la croix. On y est tous, Photo de groupe obligatoire (même pour le chef de course), sourires compris dans le pack.
La descente ? Un festival. Un pierrier transformé en piste de surf — entre rires, glissades et mini-chutes, chacun y a trouvé son style.
La journée se termine autour d’un verre à Châtel (parce qu’on ne rigole pas avec les traditions), avant le retour en Suisse.
Une belle journée comme on les aime : du rocher, des compagnons, du sport et quelques cailloux dans les chaussettes.








Je 15 mai 2025
Grillades des chefs de courses
Une belle soirée passée dans la convivialité et l'amitié!
Merci beaucoup pour toutes les salades et les super desserts!



Sa 10 mai 2025
Module de conduite de groupe (PM)

Sa 3 mai 2025
Initiation à la longue voie (FP)
On ne partait pas du bon pied pour une initiation à la grande voie un jour de pluie et de vent. Mais c’était sans compter sur les qualités d’improvisation de Jean-Christophe et Thomas, qui malgré le contexte inadéquats ont tout de même réussi leur défi.
La première moitié de la journée nous alternions en groupe entre les différents postes d’initiation : matériel, relais, rappel, préparation de course. Une fois les bases théoriques posées, nous avons mangé un repas chaud et le soleil a commencé à pointer le bout de son nez pendant quelques courts instants, présageant la possibilité d’aller appliquer la théorie.
Ça n’a pas manqué, la pluie cessa et nous en profitions pour grimper, poser le relais et redescendre en rappel sous la supervision et les conseils des experts qui nous accompagnaient.
La journée s’est terminée avec une bière fraiche et un debrief du chef de course.
Un grand merci à Jean-Christophe, Chantale et Thomas pour leurs instructions et la mise en confiance. Maintenant les cartes sont dans nos mains, reste plus qu’à pratiquer.
Ve 2 mai 2025
Zinal -> Zermatt
3 jours à skis sur les hauts de Zinal – du 2 au 4 mai 2025
Boucle depuis Zinal via Arpitettaz et Mountet
Participants : Super groupe homogène, bonne ambiance tout du long.
Conditions générales : Neige excellente en altitude, fonte rapide en dessous de 2500 m. Météo variable, du soleil, du chaud, du froid, du vent, de la neige, visibilité parfois réduite.
Particularités logistiques : Utilisation des vélos pour l’approche, traversée vers Zermatt annulée faute de neige, de météo favorable, et de transports publics en travaux.
Jour 1 – Approche estivale et cabane d’Arpitettaz
Grand ciel bleu et températures quasi estivales pour ce premier jour. Le départ se fait de Zinal à vélo, faute de neige en bas. L’approche se rallonge chaque jour avec la fonte qui galope sous les 2500 m. Après avoir laissé les vélos au pied d’un gros dépot d’avalanche infranchissable à vélo, place à un long portage jusqu’à enfin chausser les skis, environ 400 m sous la cabane d’Arpitettaz. Là-haut, en revanche, la neige est bien présente. Installation à la cabane sous un soleil généreux, des röstis puis un apéro.
Jour 2 – Ambiance haute montagne et descente magique
Jour blanc complet au départ, navigation GPS indispensable pour atteindre le Blanc de Moming. Le brouillard laisse place à un vent soutenu et quelques chutes de neige sur l’arête. Pause prolongée pour attendre une éclaircie avant d’entamer la descente vers Mountet : bien nous en a pris. À la clé, une superbe descente avec une petite couche de poudre fraîche sur fond dur, le tout dans une visibilité redevenue excellente. Moment fort du séjour en plus de la bonne ambiance permanante !
Jour 3 – Retour direct et efficace
Quelques centimètres de neige fraîche tombés dans la nuit, ciel couvert mais visibilité encore correcte au réveil. On choisit la sécurité et le confort avec un retour direct sur Zinal avant que les nuages ne bouchent tout. Dernière descente à ski jusqu’un peu sous la grotte du glacier, on s’arretera à la grotte pour l’ambiance. Personne de motivé pour plonger dans les bassines d’eau formée à l’entrée de la grotte. Puis long portage jusqu’aux vélos, retrouvés avec soulagement. Fin de boucle efficace en roue libre vers Zinal.
Conclusion :
Une belle boucle en haute montagne malgré des conditions changeantes. Pas de traversée cette fois, mais des choix judicieux et un groupe soudé ont permis de tirer le meilleur de ces trois jours sur les hauts de Zinal. Mention spéciale pour les vélos, qui auront bien servi ce printemps ! Et probablement pas fini ;-)








Sa 26 avr. 2025
Böshorn, Breithorn du Simplon
Départ de Pinocchio sous les étoiles pour ce demi week-end au Simplon, météo oblige.
Marc garde au programme le Boshorn qui n'a pourtant rien de méchant.
Arrivés sur place, Marc enfile sont baudrier mini rikiki sexy, imité par d'autres participants.. moins sexy toutefois. Une traversée d'avalanche nous laisse dubitatif quant aux conditions de descente. Mais... Scout toujours? Ouais !
Quelques reks plus tard, entrecoupés de pauses de longueur proportionelle à son rythme, et donc inversement proportionelle au besoin, nous arrivons au pied de l'arête sommitale. Nous sommes accueilli par JC et Anne déjà sur le retour.
Trois cordées de deux sont formées et nous atteignons le sommet sous un ciel pur azur. Un petit biset nous motive à redescendre sans pique-niquer. Scout toujours? Ouais !
Le soleil a fait son boulot et la neige, variée, est étonnament bonne à skier jusqu'en bas, en contournant l'avalanche modérément appréciée lots de la montée.
Quelques bières plus tard, nous nous gargarisons de cette magnifique journée dans la voiture. Ça roule les boules ma poule.
Merci Marc pour l'organisation et toute l'équipe pour la bonne humeur et la bienveillance.
Leila et Carmen








Ma 8 avr. 2025
Randonnée à ski du mardi
Encore une sortie réussie pour les mardistes en ce 8 avril de l'an de grâce 2025.
Yvan nous avait annoncé du béton armé. C'était sans compter sur le travail impeccable du poseur de moquette Jean Rosset, à l'œuvre dès l'aurore sur le chantier des Monts Telliers, pour nous concocter une descente moelleuse à souhait.
Départ du super Saint-Bernard pour une montée agrémentée de 3 pauses permettant d'éviter à la troupe d'être lyophilisée.
Du sommet, vue à 360 degrés sur les Alpes helvétiques et italiennes, sous un ciel bleu azur immaculé.
La descente emmenée par Toto, le héros du Speedy ski, comportera un peu moins de pause. Néanmoins après l'avoir imploré à quelques reprises, nous obtenons l'autorisation de manger notre pique-nique au bas de la combe de Drône. Isabelle en profite pour prendre la mesure non pas de l'épaisseur de la couche de neige, mais de la distance entre sa surface et le sol : plus d'un double tibia, peut-être même trois selon le modèle utilisé.
Nous glissons jusqu'à nos voitures. Un arrêt à la Channe à Liddes nous permet de faire le plein de bières, panachées ou cafés parfois viennois. Non, ces derniers ne suppriment en aucun cas les bienfaits de la journée : ils les subliment !
Merci Yvan pour l'organisation et l' excellent choix de course. Merci à toute l'équipe pour la belle ambiance.
Au plaisir d'une prochaine tournée en montagne.
Carmen








Di 6 avr. 2025
Petit Combin en traversée avec nuit à Panossière
Quel beau programme!
Moi, la « Bagnarde » depuis 1960, je ne l’avais jamais fait.
La chance est avec nous: soleil radieux annoncé. Julien nous prévient : des Fionnay, il y aura du portage…. Il est très prévenant, car « nous sommes déçus en bien »! Apres, diverses sensations entre peau et crapahute en forêt, nous arrivons sur le glacier: magique!… Le Grand Combin est « à portée de main ». De la cabane Panossiere, le soir, il s’habille en rose !
Le lendemain, nous partons aux frontales … belle sensation. Nous nous encordons, Justine (adjointe) mène la deuxième cordée. Longue traversée, petit portage, nous arrivons, avec le sourire, au Sommet du Petit Combin dans le timing prévu.
Quelques bonnes rafales nous donnent envie de descendre… La neige est juste transformée : c’est top ! Nous devons faire un autre portage pour franchir le Col de Panossière afin de basculer sur le versant qui donne sur Bourg Saint Pierre. Incroyable descente à ski… Et presque jusqu’en bas (40 minutes de marche)
Un immense Merci à Julien pour l’ensemble d’une organisation menée de « Main de Maître » et à Justine pour sa collaboration et sa gentillesse. Une course inoubliable!
Pascale Petiet Bauer








Ve 4 avr. 2025
3 à 4 jours sur le glacier d'Aletsch
Nous nous retrouvons le vendredi soir à Interlaken.
J’ai organisé un dortoir dans mon appartement afin de prendre le premier train à 7h de Grindelwald Terminal.
Arrivés au Jungfraujoch, petit tour des vitrines sur l’extérieur. C’est magnifique.
Après équipement des baudriers etc, nous traversons les cavernes de cette incroyable construction humaine.
Au sortie du Jungfraujoch nous faisons un check matériel. Test DVA etc…
C’est parti pour 3 jours d’aventure.
Direction Mönchsjochhütte.
30 minutes de peau me permettant de voir un peu la forme du groupe.
Au Joch, nous descendons le glacier de l’Ewigschneefäld et glissons rive gauche pour trouver le bas de la rampe du Fieschersattel.
C'est splendide.
D’un pas assez lent c'est parti en direction du col.
Passage de la rimé crampons aux pieds, corde courte, nous continuons vers le col.
Afin d'éviter la chute, je pose un mini assurage sur un passage semi glacé.
Nous sommes encore dans le timing. Je pose la question au groupe, tout le monde est motivé pour le Fiescherhorn.
Crampons aux pieds, corde courte nous nous dirigeons vers le sommet, mi rocheux mi neige.
L’Ascension est assez facile et rapide car en très bonne condition, assez sèche. 2 h pour l’aller retour.
De retour au col, nous chaussons nos skis et nous nous dirigeons en direction de la Finsteraarhornhütte. Il est trop tard pour aller chercher le Kleiner Fiescherhorn.
De là, la descente est assez évidente, nous slalomons entre les crevasses, c'est magnifique.
Soirée tranquille à la cabane. Nous sommes déjà bien atteints par l'altitude, le soleil et le paysage.
Bilan de la première journée:
Super conditions pas de vent grand soleil crème solaire.
Je suis assez content de ma tactique à part en bas du Fischer satell, au passage de la rimée, nous aurions dû changer de la cordée de 4 personnes à 2 et 2 et mettre les crampons plus tôt, skis sur le dos..
Ne soit pas avare de changement de tactique, c’est accidentogène et ce n’est pas un gain de temps. Il fallait de tt façon faire un portage et changer les cordées. La neige était suffisamment dure, dans le bas, ce changement aurait été facile. faire 3 conversions de plus n’était pas forcément le bon calcul… Après, je ne voyais pas la Rimée. Je l’ai sous-estimée.
Jour 2:
Petit déjeuner à 5h départ à 6h nous avançons d'un rythme très lent il nous faudra 4h pour arriver au dépôt de ski avant l'arête sommitale.
Nous avons beaucoup de chance car l'arête est vraiment en condition. La trace est bonne, chaque pas se fait bien dans une neige encore suffisamment dure.
Cela nous permet d'avancer rapidement dans la partie neigeuse. La partie en rocher se fait très simplement. Kevin et Sylvia avancent très progressivement à un rythme lent mais tout à fait raisonnable. Cela me donne l'opportunité de bien profiter du paysage et de mon coéquipier Flo.
Je suis très heureux d'être là et d'accompagner ce petit groupe.
Il y a beaucoup de monde sur l'arête, mais les gens sont très fair-play et nous nous croisons facilement à des endroits tout à fait adéquat.
L'arrivée au sommet est splendide nous sommes quatre personnes il n'y a pas du tout de vent, c'est fantastique, quelle chance.
La descente par l'arête se fait gentiment à peine plus rapidement que la montée.
Après une pause nourriture hydratation nous commençons la descente à ski. Une heure plus tard nous sommes à la cabane pour récupérer nos sacs et repartir en direction du Grünhornlücke et de la cabane Konkordia.
Belle montée encordée, belle descente sans stress mais en respectant les distances et les îlots d’arrêt pour les pauses.
Les 150 m d'échelle vont nous achever mais un demi litre de panaché nous redonnera très largement le sourire.
Nous sommes vraiment très chanceux que le vent se lève seulement à 17h, quelle journée.
Bilan de cette deuxième journée:
Rien ne sert de courir, il faut avancer aussi vite que possible et aussi lentement que nécessaire. Le croisement avec une autre cordée aurait pu être optimisé mais je voulais avoir un œil sur ma cordée volante sur ce passage exposé. Alors je suis resté au sommet de la petite cheminée tandis que mon partenaire a avancé un peu, de fait, ce n'était pas complètement académique au niveau de notre taktik mais l’exposition était nulle. De toute façon les guides et leurs clients devaient attendre que ma volante finisse la cheminée alors, mon partenaire et moi aurions dû rester proche l’un de l’autre en attendant ma volante…. Nous aurions avancé les 4 ensemble.
Le soir à la cabane nous passons un bon moment à table.
Après le repas nous planifions la journée de demain. Nous hésitons à descendre sur Blatten ou sur Fiescheralp.
Nos critères pour le lendemain sont:
-pas trop de dénivelé
-pas trop de distance
-une arrivée en plaine à 15h
-un bon Röshti
-du plaisir et de l'esthétique.
Après longue réflexion ce sera direction Kranzberg puis descente sur Fiesch.
Jour 3:
Petit-déjeuner à 5h et départ à 6h . Nous traversons encore Konkordiaplatz, c'est absolument grandiose. Nous laissons nos affaires inutiles au pied de l'attaque et progressons lentement vers le sommet.
J’améliore la trace devant avec mon piolet. Cependant nous perdons beaucoup de temps pour les conversions car un participant n’est pas à l'aise techniquement dans cette neige semi gelée et semi molle.
À 10h, je décide de faire demi-tour afin de respecter notre timing ainsi qu'une belle sortie esthétique par le Haut Valais et Fiesch sans stress.
Nous nous posons sur un petit sommet pour une belle pose et descendons tranquillement et heureux vers nos affaires.
45 minutes plus tard, nos sacs sont prêts et nous nous dirigeons vers le bas, vers le Sud.
Encordés, la glissade se fait facilement vers la jonction avec le Märjelenne.
Ici, il y a un accès sous la glace.
C’est dingue.
Nous y passerons 30 minutes dans ce paradis de glace et de rocher poli par les millénaires.
C’est magique.
Nous nous libérons du collant et partons pour nos 300 m vers le col du Tälisee.
Glisse jusqu'au domaine skiable de Fiesch.
Terrace, bière et Rösti face au Sud.
Bilan du 3ème jours:
Crampons et portage dans la pente glacée molle. Améliorer la trace est fatigant pour moi et presque inutile dans cette neige croutée/glace/molle…..car une personne n’est pas à l'aise dans les conversions. De nouveau, mauvais calcul, même avec les couteaux…
Nous nous sommes bien écoutés et avons respecté nos exigences pour la fin de journée.
Nous avions bien de la marge pour vivre notre journée dans le respect de nos attentes.
La prochaine fois, je nous encorderai dès le début de la descente sur Konkordiaplatz. Il n’y a aucun argument contraire, c’est un faux plat, nous n’allons pas vite et c’est une course du CAS.
La montée sur col du Tälisee aurait pu être plus défensif en faisant un détour plus à l’Est et en évitant les pentes à 30°. Cependant le risque était de 2 en neige mouillée. Nous avons mis les distances et nous avions encore de la marge au niveau du réchauffement diurne. Je pense que c’était juste. Peut être dans le orange du 3/3
Fabuleux.
A plus pour de nouvelles aventures.
Val








Ma 1 avr. 2025
Randonnée à ski du mardi
Magnifique course. Pointe des Trois Lacs, 2796m depuis le Super Saint-Bernard.
15 participants au départ et au retour :)
Météo :
Au début le temps était beau, mais ensuite les nuages sont arrivés d'Italie. Un peu de vent au sommet.
Conditions :
La poudre bien tassée en haut, la neige gelée en bas comme sur la piste.
La situation avalancheuse est stable.
Fréquentation :
En plus de notre équipe, il y avait 4 autres personnes. Peu fréquentée.
Ça donne envie de sortir mardi :)
Une excellente journée avec l’équipe de CAS. Merci Yvan pour cette course et l’organisation.
Bonne fin de saison à toutes et à tous !








Ma 25 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi
Génialissime Course !! Bravo et Merci Toto d’avoir organisé ce mardi 25 mars au pied levé. Nous sommes 6 à participer direction la Fouly pour la Dotse . Le rythme de montée est bon ( malgré qq sabots) …., soleil au zénith. Toto décide de poursuivre vers la Tête de Ferret , c’est grandiose. Mais ce n’est rien à côté de ce qui nous attend. Jacques nous ouvre la pente nord de la Tête de Ferret avant de poursuivre direction la Combe des Fonds . C’est top 👍 Le splendide mur est excellent: super poudreuse: on se régale . Quelle incroyable boucle, jusqu’à l’arrivée la neige porte. Nous sommes tous heureux.
Un grand merci pour cette splendide journée et cette joyeuse compagnie: Jacques, Nicole, Chantal, Carmen et bien sûr l’indispensable Toto !!!! Pascale Petiet








Di 23 mar. 2025
Ski à la Tête de Lantsenaire
Très belle sortie aux Louèrettes depuis Siviez. Changement de destination, par manque neige.
On été finalement que deux à cette sortie...rythme un peu rapide...pour le chef de course.
Heureusement que Jean-Marc aime bien pendre des photos…
Bonne neige et très belle météo.






Di 23 mar. 2025
Le beaufort 3048
Col du Bastillon
Petite sortie : le manque de neige sur les hauteurs de Bourg St-Pierre et un danger d’avalanche ayant augmenté, Yvan nous propose un plan B au Col du Bastillon.
Petite fenêtre météo : Le foehn se calme un peu, juste le temps de nous laisser effectuer notre sortie sous un magnifique ciel bleu.
Petite équipe : une seule voiture aura été nécessaire pour amener l’équipe du jour à Bourg-St-Bernard (Suzanne, Yvan, Dorian et votre serviteur). Mais comme on dit, mieux vaut la qualité à la quantité.
Petite couche de neige fraîche : ça c’est toujours que du bonheur !
Petite pause pic-nic et bière à Bourg-St-Pierre : ça c’est toujours que du bonheur (bis) !
Petit bouchon : entre Aigle et Villeneuve, normal un dimanche après-midi.
Petit, petit, petit, oui mais que la sortie fut belle et un tout grand merci à Yvan pour l’organisation.
Samuel








Sa 22 mar. 2025
Les Louèrettes, 3'069m
Intro musicale :
Les Louèrettes, gentilles Louèrettres,
Les Louèrettes, je vous skierai
Le mardi par la face Est, Samedi, ça m’dit face Ouest
La face Est, la face Est,
Et l’Ouest, et l’Ouest,
Ah, Ah, Ah, Ah
Les Louèrettes, gentilles Louèrettres,
Les Louèrettes, je vous skierai
Après une magnifique sortie du mardi aux Louèrettes depuis Pralong, nous voici repartis aux Louèrettes par Siviez, sur un itinéraire tout différent et autant superbe.
Après un départ de la maison un peu chahuté par une voiture bloquant mon garage, nous arrivons presque à l’heure au rendez-vous de la Nendette pour un café. On discute des vents tempétueux de la veille qui se sont calmés durant la nuit et de la météo des derniers jours un poil capricieuse qui n’a pas facilité la tâche de notre chef de course du jour.
Nous montons ensuite à Siviez et sommes chauds et chaussés à 8h40 pour gravir les premières pentes. Stéphane, muni d’un appareil sophistiqué, contrôle le rythme du groupe qui pourrait avoir une légère tendance à accélérer. Notre troupe dépasse d’ailleurs d’autres groupes de type « sortie CAS ». Nous arrivons à ski un peu en-dessus du col et escaladons à pied les derniers mètres pour arriver vers 12h10 au pré-sommet convoité. Un petit calcul rapide permet de comprendre que les « 4 heures de montée + les pauses » ont été un chouilla compressées. Si c’était pour me faire taire, c’est réussi ; mais pour faire taire Walter, …
Peu importe : la vue est splendide. On craignait l’arrivée du jour blanc, c’est un jour bleu qui se présente. Toutefois, côté sud, le foehn sévit et les 4000 mettent leur chapeau de nuage en moins d’un quart d’heure.
A la descente, nous trouvons quelques pentes revenues à point, premières moquettes de l’année pour certains d’entre nous.
La sortie se termine autour d’une table garnie de bières pression ou panachée, cappuccino, tarte au citron, fondant au chocolat et sur des chaises équipées de peaux de mouton et de couvertures fort appréciées par certaine participante.
Merci à toutes et tous pour la belle ambiance et un merci particulier à Stéphane pour l’organisation.
Carmen








Me 19 mar. 2025
Basse Engadine
Participants : Isabelle, Annick, Christiane, Sylvie, Gladys, Vivien, Yvo et André (chef de course).
1er jour : S-Charl, Basse Engadine
Certains matins débutent bien plus tôt que d’autres… Le mercredi 19 mars dernier fut l’un de ceux-ci. Notre chef de course espérait en effet atteindre notre destination (S-Charl dans les Grisons) au plus vite, afin d’effectuer une première sortie ce jour-là. Malheureusement cet espoir ne se réalisa guère en raison des problèmes techniques de notre train qui nous firent rater notre correspondance à Zurich.
Finalement arrivés à Scuol, nous pûmes embarquer dans le taxi qui nous attendait afin de nous mener à la fameuse calèche, qui nous amena au petit trot à notre destination finale.
Une première mise en bouche, skis aux pieds, nous permit de découvrir une infime partie de cette magnifique région.
2ème jour : Piz Sesvenna
Après la petite mise en jambe du jour d’arrivée, il était évident pour la majorité de l’équipe que nous allions gravir le Piz Sesvenna cette première journée !
Nous étions au taquet jeudi matin pour attaquer cette ascension. La journée s’annonçait magnifique : grand ciel bleu.
Nous avons démarré tranquillement : André nous avait avertis que nous aurions une longue montée : nous avons d’abord longé la rivière, dans un paysage magnifique avec une belle végétation typique de la région : mélèzes, sapins et petites fleurs. Après quelques pauses pour nous dévêtir ou recharger notre batterie, nous avons commencé l’ascension en douceur, dans une belle neige aérienne et scintillante ; une dernière partie raide avant d’arriver au col, à 3204 mètres, a été plus contraignante mais nous nous sommes encouragés. A l’arrivée, nous avons déchaussé et gravi les derniers mètres à pied. Faute de temps, nous avons renoncé à escalader les derniers mètres de rocher jusqu’au sommet et préféré garder l’énergie qu’il nous restait pour descendre les magnifiques pentes qui s’offraient à nous : un gigantesque champ de poudreuse vierge pour l’équipe ! Quel régal, quel kif ! Même si nous sommes quelque peu fourbus après cette montée, nous avons largement encore assez d’énergie pour cette belle et longue descente et nous en avons profité ! Une petite pause sandwich s’est imposée avant de terminer la dernière partie qui a sollicité nos bras sur le long plat le long de la rivière ! Nous voici de retour à l’hôtel Mayor à 15h30, contents, bien fatigués mais enchantés de cette belle journée !
3ème jour : Piz Mezdi
Deuxième rando, avec pour objectif le Piz Mezdi (2883m) ou le Mot dal Gajer (2797m), on se décidera pour l’un ou l’autre quand on sera à pied d’œuvre. Comme le jour précédent, la course commence par un long passage presqu’à plat au fond d’un très beau vallon le long de la rivière Clemgia (150 mètres de dénivelé en une heure !) jusqu’à Plan d’Immez, avant que nous n’attaquions enfin la montée, au début commune, en direction de nos deux sommets possibles. Vers 2400 mètres d’altitude, on se décide pour le Piz Mezdi, qui a fière allure avec sa couronne rocheuse, et on trace dans une combe raide jusqu’à rejoindre l’arête neigeuse menant à la dépose de skis, au pied du sommet rocheux. La descente par le même itinéraire nous offre l’occasion d’un magnifique concert : les arêtes métalliques de nos skis caressent avec énergie les pointes acérées des cailloux cachés sous la neige, produisant des sons stridents aux accords dignes d’un orchestre de musique contemporaine ! Heureusement, le pique-nique entre soleil et nuages, la fin de la descente sur un tapis douillet de neige revenue, le bain chaud en plein air, le repas grison bien roboratif et surtout le gâteau tout aussi roboratif commandé tout spécialement par André pour l’anniversaire d’Isabelle, laissent un peu de répit aux semelles de nos skis durement éprouvées. Jusqu’au lendemain…
4ème jour : Piz Plazer
06h45, réveil dans la chambre 10… Annick préfère rester 1/4h de plus sous la couette… A 6h30 précises, Vivien et Christiane les assidus ;-) ainsi que Gladys, pour ce matin-là, attendons notre maître yogi Yvo pour le réveil tibétain : derviche tourneur puis tête dans les mains, clic-clac et grand repos, le chameau puis l’enfant, la table puis le repos et enfin la montagne et l’enfant. Nous voilà prêts pour le petit déjeuner.
Départ skis aux pieds, ou presque, à 8h10. L’équipe est au complet et André donne le rythme sur la première longueur qui longe la rivière Clemgia, encore elle. Après moins de 2 km, nous nous élevons enfin dans une jolie forêt jusqu’à l’Alp Tablasot en suivant le chemin d’été passablement gelé, tout en écoutant les jolies mélodies des premiers oiseaux du printemps.
La montée qui suit semble ne jamais vouloir s’arrêter mais l’enthousiasme d’Annick donne la motivation nécessaire au groupe pour atteindre le col encore invisible. Il faut dire qu’on n’a pas vraiment envie de redescendre sur ce versant : on nous a en effet promis de la poudre du côté de l’adret.
Bientôt le col est en vue : il reste quelque 180 mètres de montée.
Il est pile midi lorsque nous y arrivons, bien heureux de voir enfin un ciel bleu. Des becs, des photos, des rires… un peu de thé chaud et nous voilà prêts pour la descente.
La neige est bonne quoiqu’un peu lourde, mais qu’à cela ne tienne, nos cuisses en béton dessinent de très beaux virages sur les presque 1000 mètres de descente.
Nous nous éparpillons sur des cailloux non loin de la rivière Aua Sesvenna pour le pique-nique.
La pause terminée, nous rejoignons le tracé que nous connaissons du premier jour. Le petit toboggan dans la forêt est un régal… mais attention, hors du chemin, la neige est pourrie. Gladys et Isabelle y testent le planter des skis et des bras…
De retour à l’auberge, il ne nous reste qu’à profiter une dernière fois des plaisirs qu’elle nous offre : un rafraîchissement sur la terrasse ensoleillée, un bain nordique, un sauna, accompagné du traditionnel gâteau aux noix d’Annick, un bon repas et une tout aussi traditionnelle partie de Uno.
5ème jour
Le long retour au bercail a été l’activité principale de la journée.
Merci André pour ces magnifiques journées aux Grisons !








Ma 18 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi
Découvrez le dernier épisode de la série “Les mardistes font du ski”. Réalisation : Carmen sur une idée de Toto, avec par ordre alphabétique Catherine, Laurent, Pascale, Philippe, Simon, Suzanne, Thomas et la participation spéciale de Delphine et Natacha.
On leur avait promis du soleil (facile) et de la poudre (plus risqué) : on a gagné les deux paris !
Départ de la buvette de Praperrot, entre Hérémence et Pralong vers 9h.
Montée en trois épisodes : couche de neige un poil mince, couche un peu plus fournie sur fond transfomé, poudreuse de rêve.
A peine 4 heures plus tard (quelle pêche !), la troupe arrive au pt 2915 convoité. Les plus valeureuses z’et valeureux esclaladeront immédiatement les 50 mètres menant à la Pointe de la Rosette située juste en-dessus. Une deuxième fournée de valeureuses z’et valeureux s’y essaieront avec plus au moins de succès après avoir repris leur souffle. L’essentiel étant de participer et de revenir entier, là encore, pari gagné !
On admire le paysage dont les majestueux Bishorn, Weisshorn, Rothorn, Grand Cornier ainsi que la Dent Blacnche. On mange. Mais il nous faut penser à tourner les dernières scènes avant que la lumière ne décline. On rembobine le film. On s’engage dans la magnifique combe poudreuse penchée maintenant dans l’autre sens, puis la couche transformée et finalement la couche mince laissant parfois apparaître quelques décimètres carrés de pâturage ou de bitume selon qu’on ait choisi de couper à travers champs ou de suivre la route.
Nous cherchons en vain un bistrot dans la val d’Hérémence pour terminer l’aventure, mais tous sont fermés à la ligue mardiste pourtant pacifique.
Nous trouvons finalement refuge au Café de la Place à Vex avant de rejoindre la douce chaleur de nos foyers.
Merci à toute l’équipe du tournage pour cette belle histoire. Feuilleton à suivre de près assurément.
Carmen







Di 16 mar. 2025
Horlini
une journée bien bouchée du point de vue météo, mais ça nous a permis de prendre l’air. On était quatre.
30 cm de neige fraiche bien savoneuse. On a quand même fait une jolie decente sur la piste.
Un petit arrêt à la chane (Liddes) pour un petite bière bien méritée.
Yvan






Ve 14 mar. 2025
3 jours de rando à ski dans les Grisons
Vendredi 14 mars 2025 – Coire (GR) 23h45
Comment mieux commencer un récit d’aventure qu’en… dormant dans une ancienne prison ? C’est là que nous nous retrouvons ce soir, à Coire, dans une auberge installée dans les murs d’un ancien pénitencier. Pour quelqu’un qui aime la liberté, les grands espaces et l’évasion, c’est un clin d’œil assez ironique. Mais c’est aussi un bon appel à l’aventure : demain, on s’échappe vraiment !
L’aventure commence ici, avec un groupe de passionnés du Club Alpin Suisse, section Jaman / Vevey. En la présence de Nicole, Olga, Walter, Yves, Joachim, Emilien et notre très chère cheffe de course Mélanie, dit « Mama ». Pendant plusieurs jours, nous allons traverser les Alpes grisonnes, de cabane en cabane, skis de randonnée aux pieds et sacs bien chargés.
On est tous hyper excité, un peu nerveux aussi, la bière d’avant coucher nous a fait du bien !
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Samedi 15 mars 2025 – Hospice La Veduta → Muot Cotschen (2863 m) 18h29
Nous rejoignons enfin ce lieu magnifique.
Les sacs sont lourds, mais les épaules sont légères : l’énergie du groupe suffit à faire oublier la fatigue, le froid, et même la visibilité réduite. Le risque d’avalanche est marqué (niveau 3), nous ne ferons pas de folies ce jour !
Nous atteignons le Muot Cotschen, à 2863 mètres d’altitude. L’instant est magique. La neige est douce, ou pas 😉, et la beauté du lieu enveloppe tout, même le genou de Mama Mélanie avec son attelle de genou !
Après une belle descente dans une neige presque trop bonne pour être vraie, ou pas bis 😉, c’est l’heure de la sieste générale ! Quel luxe de pouvoir simplement s’allonger, respirer, et profiter de l’instant.
À 15h45, Mama Mélanie nous réveille en douceur pour une petite formation « Recherche DVA ». On rigole bien, on révise les gestes de sécurité, et certains se font la promesse d’investir dans une pelle plus grosse, apparemment les pelles pour les châteaux de sables ce n’est pas très adapté pour la montagne…
En fin de journée, nous allons nous détendre dans le Sauna avec le reste du groupe. Mama Mélanie, encore elle, sait choisir les coins sauvages mais confortables. QUELLE CHEFFE !
Puis, quelques-uns de nos compagnons se rejoignent pour l’apéro, une bière à la main, la vue sur les sommets alentours est irréelle. L’équipe arrive peu à peu, le souper est prévu à 19h00… et les accompagnements liquides aussi.
La vie est belle.
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Dimanche 16 mars 2025 – Hospice La Veduta → Cabane Jenatsch 17h01
Troisième jour dans les Grisons.
On décolle sans stress, en douceur. La météo est capricieuse : visibilité réduite, plafond bas, mais chaque éclaircie est une bénédiction. Le plan initial était de rejoindre directement la cabane Jenatsch… Mais une petite improvisation de Mama Mel nous offre un détour surprise au Piz Campagnung . Là-haut, on croise deux snowboardeurs allemands en splitboard avec qui on échange quelques mots (pas sûr d’avoir tout compris). Au sommet on rit, on souffle, et on en profite pour descendre une belle face gavée de poudreuse. Comme quoi, les détours en montagne ont souvent du bon.
La suite de l’itinéraire est joyeuse, rythmée par les cris de plaisir et les conversions foireuses sous une brume entremêlés d’éclaircis divins. A la descente Yves est là pour nous guider, il semblerait qu’il ait débloqué le superpouvoir « skier sans visibilité », Superman n’a qu’à bien se tenir !
L’arrivée à la cabane Jenatsch est un soulagement. Typique, chaleureuse, pleine de randonneurs… Ça parle fort, ça joue, ça rigole, surtout chez les Romands, le Röstigraben improvisé par la porte de la cabane nous éloigne de nos comparses bourbines, et nous fait gagner le titre de « les rigolos romans ».
Olga résume parfaitement l’ambiance :
"Qu’est-ce qu’on est bien, ici…"
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Lundi 17 mars 2025 – Retour des Grisons
Train CFF – 14h32
What a day !!!
Ce matin encore, la montagne nous a offert un final à la hauteur de ce trip : Une de ces lumières alpines franches et pures qui donne envie de tout respirer à pleins poumons. Une belle montée, skis sur le dos pour atteindre le sommet, Joachim nous montre ses talents d’assureur en guidant Nicole dans la montée, sous un soleil radieux entouré des multiples blagues de Walter qui nous ont accompagnées tout le week-end, nous atteignons le sommet. On traîne, on admire, on laisse un petit mot dans le journal du sommet, on rigole. L’équipe est toujours au taquet, chacun y va de sa dernière blague. Tout le monde sent la fin qui approche, nous dégainons nos plus beaux virages,
Et puis… Dernier virage, derniers coups d’œil en arrière.
L’aventure touche à sa fin.
Maintenant, on est là, dans le train CFF, en route vers la plaine, pour revenir à notre Leman adoré. Le rythme ralentit, les corps sont fatigués, sauf celui de Nicole, qui arrive à amuser tout le wagon avec ses jeux de rôles, les visages sourient, bilan d’un week-end exceptionnel. Les photos se partagent, les souvenirs se créent et nos jambes commencent déjà à rêver de la liberté d’un prochain voyage.
Emilien








Ma 11 mar. 2025
Randonné à ski du mardi
Nous étions 13 à nous retrouver à Ovronnaz, motivés pour aller chercher la neige en altitude. Après un passage en télésiège, nous nous équipons à 2000 m avec la belle surprise de trouver 5 cm de neige fraîche. Direction le col de Basse, en maintenant un rythme régulier comme tous les mardis. Quelques pauses pour ajuster les couches et boire un peu, puis nous atteignons, 600 m plus haut, une belle section vierge avec 10 cm immaculés où nous avons le plaisir de faire la trace.
Une éclaircie relative nous accompagne dans une descente en neige bien skiable sur le versant nord-est. Une fois arrivé en bas, les plus motivés remettent les peaux pour 300 m de rab, tandis qu’un petit groupe profite des pistes grâce au Magic Pass.
Une heure trente plus tard, tout le monde se retrouve à Ovronnaz pour un verre bien mérité.
Merci à toute l’équipe pour l’ambiance et à bientôt pour la prochaine !
Simon





Lu 10 mar. 2025
constitution du programme été 2025 pour CdC été
Une soirée toute sympathique pour préparer le programme estival entre chefs-fes de courses!!
Suivi d’une bonne raclette!


Sa 8 mar. 2025
Monte de l'etoile
Après quelques défections dont une le matin même, c’est un petit comité formé du chef de course Robert, de son adjointe Carmen et du rescapé Florian qui se lance à la conquête du Mont de l’Etoile. Florian et Carmen arrive à deux minutes près à retrouver Robert dans le bus postal à la Coutaz pour rejoindre Arolla. Le trio prend les téléskis jusqu’au col de la Forclette. On met une petite briquette pour arriver rapidement au col de la Cassorte, déjà équipé d’une corde fixe. Robert et Florian en auront porté chacun une pour rien. On passe rapidement le passage clé avant les groupes suivants et évitons ainsi de nous retrouver dans un bouchon. Bien joué !
Jolie descente du glacier des Ignes dans une neige encore poudreuse mais un peu trafollée par endroit. Nous remettons les peaux et attaquons la traversée sous les Aiguilles Rouges d’Arolla. Paysage grandiose de tous côtés : plein feu sur les Bishorn, Weisshorn, Rothorn de Zinal, Grand Cornier, Dent Blanche, Dents de Veisivi, Aiguille de la Tsa, Bouquetins, Mont Collon, Pigne et j’en passe.
Petite pause près d’un lac invisible à 2900 mètres d’altitude puis dernière pente sous le Mont Etoile. Je suis au bout de ma vie, mais qu’elle est belle ! Le panorama s’ouvre sur les sommets du versant nord des Alpes.
Robert et Florian mettent les crampons et gravissent les 50 mètres restant jusqu’au sommet du sommet. Je reste un poil en-dessous. Pas envie de me louper sur un rocher un peu exposé pour mon état de fatigue. Il fait froid avec le vent qui souffle.
Après les 200 premiers mètres de neige dure et soufflée sous le sommet, une jolie descente soutenue dans une poudreuse un peu tassée mais quasi vierge nous attend. Une dernière traversée nettement plus exposée au soleil nous fait rejoindre l’itinéraire de la Palantze de la Cretta. Nous arrivons juste à temps pour attraper le bus grâce à ses 3 minutes de retard.
Merci l’équipe pour l’ambiance très sympatique et à bientôt pour une nouvelle aventure.
Carmen






Sa 8 mar. 2025
Dreizehntenhorn, Ginalshorn, Altstafelhorn
Au congélateur puis au four, dans la poudre puis la papotche, seuls au monde et sur piste, Sam nous a fait vivre une sortie de toutes les diversités. Une seule constante: la bonne humeur du groupe, insufflée par un chef de course souriant et des clubistes contents (et, selon, ahanants).
Depuis Unterbäch, nous avons eu le plaisir de découvrir les deux télésièges et deux arbalètes de la station, toutes en longueur et en vallons ombragés… et bien gelés ! Heureusement, dès notre arrivée à Seefeld, le soleil a vite réchauffé nos doigts et nos oreilles, et c’est en t-shirt pour certains, un peu plus pour d’autres que nous avons commencé à monter. Mi-parcours de l’ascension du Driizänduhoru, les troupes furent remotivées par un effeuillage réalisé par Félix, et c’est toujours avec le sourire, peut-être un peu forcé, aux lèvres que le portage des derniers mètres avant le sommet furent effectués. Au sommet, un festin mérité, et une superbe descente dans de la délicieuse poudre au nord qui a bien récompensé nos efforts.
Deuxième courte montée ensuite: 400m à avaler pour atteindre le sommet du Ginalshorn. Autre montée, autre ambiance: la neige est trempée, le soleil cogne, la compacité du groupe n’est plus qu’un souvenir… mais le sommet est atteint, et la vue est cette fois encore plus une récompense. Le massif du Mont Rose, Weishorn, Bishorn, Dent Blanche, Dents du Midi, Diablerets, Bietschorn, Monte Leone, Fletschhorn, Weismies… on croirait que tout ce qu’il y a de majestueux et enneigé au monde s’est donné rendez-vous là pour le plaisir de nos yeux, quel bonheur ! Dernière scission du groupe entre ceux qui préfèrent descendre par le nord de la combe et ceux qui prennent le sud: vite réunis, vite en bas, vite autour d’une table à profiter d’une chaise confortable et d’une boisson bien appréciée. On apprécie et souligne les efforts de chef de course pour trouver toujours la meilleure neige possible, on remercie les chauffeurs d’avoir chauffé et les CFFs d’avoir ferrové, et… on se revoit bientôt sur un autre sommet !








Ma 4 mar. 2025
Randonnée à ski du mardi








Sa 1 mar. 2025
Dent de Morcles avec nuit à la cabane de Fenestral
06 :48 ; départ du train depuis Lausanne sur le quai 9 ¾, wagon 4 ½. Le groupe est lancé et on sent tout de suite une déferlante d’énergie positive s’abattre dans le wagon 4 ½. Le soleil brille, les sourires sont de sortie, le week-end s’annonce sans anomalies!
08 :55 ; arrivée à Ovronnaz, et la première anomalie, c’est pour David : « Franck je crois que j’ai laissé allumé mon DVA toute la semaine ». (Le « je crois » était pour alléger le propos mais David en était bel et bien sûr). Cela aurait pu en être une d’anomalie, si Franck, AKA le couteau, n’en était pas justement un de couteau suisse. Sans broncher, il sort 3 batteries de son sac, le départ peut être lancé.
09 :34 à la Garmin, les peaux sont placées, la crème solaire est appliquée, le chrono peut être lancé ! L’ascension commence calmement jusqu’à ce petit raccourci qui, bosselé, raide et gelé, vient tester nos protagonistes dont les conversions sont mises à l’épreuve d’entrée de jeux, mais l’honneur est sauf. Désormais, ni la résilience du groupe, ni l’ouverture de hanche de notre chef de course bien aimé, n’est encore à démontrer!
12 :30 ; arrivée au col de Fenestral sous un soleil radieux. Tout le monde est affamé et se réjouit de dévorer son pic-nic devant le panorama presque imbattable que nous offre le foyer de la cabane de Fenestral si bien gardiennée. On est mieux ici qu’en prison!
13 :30 ; La saga des options est lancée ! C’est parmi un panel bien étoffé que nous avons choisi de repartir pour fouler les pentes si aguicheuses des « Taconnets » à l’exception de Romain qui choisit un repos bien mérité. Sous le menton de la « Tête de Cornieule », dont l’ombre portée nous offre une neige douce, juste un peu croquante sous la dent, mais seulement où la face s’est laissée atteindre par le vent. L’un après l’autre, nous amorçons la descente vers le lac de Fully avec une excitation qui se fait sentir au moins jusqu’à Sion!
15 :30 ; Les cales sont placées, les têtes sont baissées, les jambes sont fatiguées mais l’humeur reste à son apogée pour la remontée. La dernière de la journée. Le groupe, une fois arrivé, prends ses quartiers, se laisse reposer et se prépare pour le souper.
19 :00 ; Tout le monde est rassasié après de nombreuses recaves gentiment proposées par nos hôtes. La peau du ventre bien tendue, nous nous laissons aller à quelques parties de « the game » dont les gaps n’ont désormais plus de secrets. Après quelques bières, le passage obligé par le lieu d’aisance ne laisse personne indifférent. Parce qu’il fait froid, oui, mais surtout parce que la vallée qui s’étale sous nos pieds nous fait presque oublier la fonction première du local (bien que l’odeur soit là pour nous le rappeler).
21 :30 ; Boule quies bien enfoncés, sacs à viandes bien enroulés, nous voilà partis pour une nuit bien reposante.
06 :30 ; Trois réveils sonnent, les paupières sont encore gonflées, le réveil se fait doucement. Il ne faut cependant pas plus de quelques minutes pour que les blagues repartent de plus belle. Tout le monde est bel et bien réveillé. La lumière quant à elle, prends le temps de se dévoiler progressivement sous nos yeux émerveillés face au paysage. Ce dernier s’équilibre de minutes en minutes, enrobé d’une lumière qui prend le temps d’atteindre une cime après l’autre.
08 :10 ; Les couteaux sont posés, pendant que notre couteau à nous revient déjà de son repérage. Le verdict tombe: Pas besoin de crampons. Après deux conversions, c’est sous un vent tranchant que les skis sont placés sur les sacs à dos pour le portage de quelques pas. Peu après, le soleil perce, la chaleur l’accompagne; on enlève une couche pour repartir de plus belle. L’horizon change, de nouvelles cimes se dessinent, l’objectif est en ligne de mire. Les lignes de fuites défilent sous nos yeux. Grande Vire, Grand Cor, Grande motivation. Les collants pipettes n’ont qu’à bien se tenir!
Vers 10 :00 ; La vallée du Rhône est à nos pieds, la croix est touchée, le sommet est validé. Beau temps belle neige! La redescente s’amorce sans trop tarder pour enchaîner sur la suite du programme, et quel programme! Le vent étant resté au sommet, nous voilà à l’abri. Avec moins de temps qu’il en faut pour le dire, nous voilà face à la tête noire, certes, mais surtout face à 12 options (au moins :) ). La décision est prise, on rempeaute et en avant direction les derniers remparts skiables de la crête menant à la tête Séri. Magnifique descente vers Euloi avec émoi. Les no go zones sont esquivées, les estomacs sont creusés, les options refont surface. Après quelques morses, les décisions sont plus faciles à prendre, pas de grand château pour cette fois. Une dernière petite montée plus tard nous voilà au sommet des remontées mécaniques pour attaquer notre dernière descente le long des pistes d’Ovronnaz. Nous n’allions tout de même pas échapper à une dernière option, entre la rouge ou la noire c’est la rouge qui l’emporte.
14 :00 ; Les skis sont posés, les culs aussi, la bière est servie, les sourires sont à l’équerre, les cœurs sont embaumés, les peaumettes sont rougies, plus pour l’un que pour d’autres, peut-être que les tubes de crèmes n’avaient finalement pas été tous sortis aux 09 :34 de la veille.








Di 23 fév. 2025
Fava
En cette douce saison 24-25, les sorties nous mènent rarement au premier objectif prévu 😅 La Fava sera pour une autre fois !…
Ce dimanche matin, il faut y croire car il pleut sur la Riviera !! Mais comme nous a répété Floriane la valaisanne du groupe: “S’il pleut à Vevey, venez en Valais !!” Et effectivement, on y a trouvé même quelques rayons de soleil !☀️
Merci à Nicolas de nous avoir fait découvrir le col des Ecandies avec 1ère montée en télésiège😉 puis jolie descente sur le val d’Arpette pour ensuite “attaquer” la montée jusqu'au col dans un magnifique décor… conditions agréables, même si la neige était assez lourde en redescendant… les cuisses ont chauffé !
Une belle journée et une chouette petite équipe 😊
Dominique








Sa 22 fév. 2025
Tête de Lantsenaire
Nous avions prévu le Lantsenaire et faute de neige nous nous sommes retrouvés à la Cape au Moine ! C’était une belle découverte car aucun.e d’entre nous ne l’avait jamais faite !
Départ d’Étivaz nous sommes montés sans soleil mais en ayant beaucoup trop chaud au sommet à cause des températures élevées. L’un des nôtres a fait une échappée pour suivre des collants pipettes mais nous a finalement rejoints (on ne saura jamais si c’était que nous étions nous plus marrants ou eux trop rapides ;).
Nous avons crapahuté jusqu’en haut de la Cape au Moine pour une jolie vue sur les sommets alentours tristement pas très enneigés et avons fait un petit rappel à la descente pour nous mettre en jambes pour la suite. La neige étant cartonnée nous n’avons pas savouré nos virages jusqu’à la moitié de la descente ou la neige de printemps nous a ravi. La moitié du groupe a décidé de faire une course d’orientation dans la forêt et l’autre moitié a mérité une bonne pause en les attendant au soleil. Après un dernier bout en skating qui en a achevé plusieurs, la récompense a été de prendre un verre à l’hôtel du Chamois avant de tous terminer à la fromagerie du coin pour acheter de l’Etivaz. ;)
Merci à Philippe pour la sortie c’était super !








Sa 22 fév. 2025
Vallée de Conches
Deux jours de rêve dans la vallée de Conches en très bonne compagnie.
Réveil très matinal le samedi matin pour prendre le train, ce qui nous a permis de débuter la première montée au départ de Geschinen vers 9h30 en direction du Teltschehorn (2744m). La neige à la montée était prometteuse, mais le foehn ayant fait ses ravages, la descente fut plus technique que prévu. Nous nous réhydratons à Ulrichen en attendant notre train puis nous nous diregeons à notre hôtel. Excellent souper au bistro du village de Gluringen.
Lendemain réveil matinal avec un solide déjeuner pour découvrir les pentes orientées Sud qui nous semblaient très alléchantes. Nous prenons le train jusqu'à Münster et montons au Gross Chastelhorn (2841m). Nous parvenons à la cime par l’arête Nord-Est équipés de nos crampons. Petit pique-nique au soleil avant d’entamer la descente. Nos petites observations de terrain nous ont permis d'alterner judicieusement les passages de moquette et de poudreuse jusqu'au café de La Poste. Fin du week-end avec 3 heures de train, ce qui nous a laissé le temps de rédiger ce récit.
Merci à Mireille et Marc pour l’organisation de ce week-end.
Participants: Dimitri, Florian, Holger, Kevin, Lauranne, Lourenço, Thomas








Ma 18 fév. 2025
Sortie du mardi
Merci Carmen, ta proposition fut un véritable succès !
Grâce à la bienveillance du paysan de En l’Auge, un parking au-delà de la route autorisée nous a permis de rejoindre Pâquier Mottier rapidement.
Il fait frais le long de la Torneresse. Les sapins encore couverts de neige donnent une note hivernale à ce paysage magique. Puis vient une jolie montée, un peu rock&roll dans la forêt et nous voilà sortis sur un bel alpage au soleil. On attend un petit replat pour faire une première pause et profiter d’ôter quelques couches.
La trace est belle et nous amène sans dificultés au Pas de Sazième. On s’élève ensuite jusqu’au lac de La Gour. La trace est un peu raide et je décide d’en sortir pour aborder une montée plus douce. Pas longtemps, car Jacques se propose généreusement leader pour me faciliter la tâche ;-)
Puis vient la montée au col. Une coulée est descendue sur sur l’adret. Nous passons dans son sillon pour quelques virages avant de joindre la pente et ses conversionssur l’ubac. De là nous mettons des distances entre nous.
Toto et Jacques ont pris la tête et bientôt notre groupe s’étire.
Pour ma part, le col fut une délivrance. Etourdie, jambes et bras flageolant (avant-signes d’état grippal ?), je décide de m’arrêter à cet endroit, accompagneé de mon ange-gardienne Fabienne. Les derniers poursuivent leur ascension jusqu’au sommet pendant que nous pique-niquons toutes deux tranquillement en les attendant. Il faut vite reprendre des forces car la descente s’annonce belle et longue.
En effet, du début à la fin, nous jouissons d’une magnifique neige poudreuse presque vierge (voir photo du peigne ;-))
Grâce à la perspicacité de Carmen, elle sait bien lire les cartes… et elle connait de l’avant-veille, nous trouvons le chemin que traverse cette forêt du bas apparemment infranchissable, et la descente est parfaite jusqu’au bout.
Il nous faudra encore quelques pas de patineurs jusqu’à Pâquier Mottier, puis nous voilè à nouveau sur le joli chemin ludique qui nous amène aux voitures skis aux pieds.
Le café de l’Etivaz est fermé… mais nous profitons d’une petite halte à la fromagerie pour acheter quelques bons produits locaux avant de terminer autour d’une table du tea-room des Mosses.
Merci l’équipe, vous avez été super as usual !!!
Christiane








Di 16 fév. 2025
Tour de Famelon 2138m
En nous levant ce dimanche matin, nous avions deux raisons de nous réjouir : le soleil s’annonçait radieux et nous avions une jolie course en transports publics prévue, ce qui nous éviterait les bouchons du dimanche soir !
Alors que l’objectif initial était la Tour de Famelon, les pentes vertes du Sépey ont contraint notre chef de course Vivien à nous concocter une alternative enneigée de dernière minute : ce sera La Palette (2171m.) depuis le Col du Pillon.
Dès le départ, le soleil perce dernière le massif des Diablerets et nous irradie de ses feux. Après une pause à mi-parcours, nous atteignons le sommet de La Palette. La descente s’effectue par une pente déjà bien tracée mais avec une merveilleuse neige poudreuse qui siffle sous nos skis. Nous profitons d’y dessiner quelques beaux virages.
Nous pique-niquons près d’un chalet en contrebas de La Palette. La vue y est superbe. Néanmoins, le chef de course a oublié le cake et le café, alors pour se racheter il tente de nous proposer de la moutarde. Nous préférons les délicieux chocolats de Dominique. Allez savoir pourquoi...
Ensuite, nous continuons à skier en direction du lac d’Arnon, puis arrivés au fond nous remettons les peaux pour gravir un joli sommet (2058m.) à l’Est de la Palette. Le soleil brille, la neige colle un peu, mais quel paysage grandiose avec cette immense étendue blanche !
Arrivés au sommet, nous partageons des félicitations et nous préparons pour la grande descente jusqu’au Col du Pillon via le Col de Voré. Cette fois, c’est une autre histoire : la neige est lourde et parfois les pierres apparentes mais qu’importe, le plaisir est toujours au rendez-vous !
Une fois au Col du Pillon, il nous reste une bonne demi-heure avant de reprendre le bus. Nous en profitons pour boire un petit verre bien mérité et remercier Vivien qui a su nous concocter une course en transports publics durant laquelle nous avons profité de la bonne neige, de beaux paysages et de jolis moments conviviaux. Merci Vivien !
En nous levant ce dimanche matin, les auteurs de ces lignes avaient en fait une troisième raison de se réjouir : c’était leur toute première course avec le CAS ! Nous avons été gâtés par une merveilleuse journée et nous réjouissons beaucoup des courses à venir.
Belle suite d’hiver à toutes et tous !
Floriane et Ambroise








Di 16 fév. 2025
Gstellihore par sa variante "Alpinifreeride"
Traversée alpine diabolique
En ce dimanche ensoleillé, notre groupe de huit aventuriers s'élance depuis le col du Pillon
pour une journée mémorable en montagne. Après un trajet bien serré dans les télécabines,
nous atteignons le Scex Rouge. Après un briefing de Jonas, nous nous lançons dans la
première descente sur le glacier de Zanfleuron en direction du col du Sanetsch dans un décor
sauvage !
Les peaux de phoque sont mises: l'ascension vers le Gstellihore commence ! Sous un soleil
éclatant, nous progressons le long des imposantes falaises des Mountons jusqu'au départ de la
via ferrata du Sanetsch. Skis sur le sac, baudrier et longe en place, nous grimpons les échelles
avec enthousiasme, une section ludique qui ajoute une belle diversité à notre parcours. Une
dernière montée à peau nous mène au sommet du Gstellihore, où nous savourons un pique-
nique sous un soleil radieux, dans une ambiance conviviale. Une touche sucrée avec un
morceau de chocolat Ovomaltine, et nous voilà prêts pour la grande descente vers Gsteig !
La neige est légère, les sensations sont au rendez-vous ! Jonas nous déniche un itinéraire
astucieux pour éviter une section de portage, nous offrant ainsi une descente ponctuée de
belles pentes raides à skier. Quelques passages serrés entre les arbustes donnent lieu à
quelques chutes sans gravité !
Nous atteignons le charmant village de Gsteig juste à temps pour prendre le bus en direction
du col du Pillon. Pour conclure cette magnifique journée, nous savourons une bière bien
fraîche, installés sur des transats, en profitant des derniers rayons du soleil et des donuts
offerts par la serveuse !
Un récit de Justine Morgenthaler
Deborah, Emilien, Carolina, Albane, David, et Justine.
Chef de course : Stéphane & Jonas








Sa 15 fév. 2025
Wittenberghorn en boucle
Samedi matin, 7h30, nous avons rendez-vous à Aigle pour le covoiturage en direction de Fautersoey. Nous sommes 11 participants à nous répartir dans les voitures.
Après 1h30 de route, nous voilà prêts au départ par une température de -12. Nous suivons le fond du vallon, le long de la rivière. La nature est magnifique avec les arbres recouverts de neige. Nous profitons des premiers rayons du soleil pour faire une petite pause et discuter du but de la journée. Samuel nous fait un petit topo des conditions, du danger et de l’itinéraire. On se rend compte que le Wittenberghorn se trouve, ce jour-là, moin intéressant que son plan B ! Nous décidons ensemble de nous diriger à la Tête de clé.
Nous commençons l’ascension sur une trace qui serpente entre clairières et jeunes sapins. Le soleil commence à réchauffer un peu trop l’atmosphère. Au fur et à mesure de la progression, nous devons retirer nos couches d’habits et la neige colle de plus en plus aux peaux. Nous arrivons au sommet vers 12h pour le dîner. La neige est un peu lourde pour la descente mais reste quand même tout à fait skiable jusqu’au lac Arnesee.
Nous remettons les peaux pour remonter encore 500m sur le Walighürli afin de bénéficier de belles pentes nord avant de rejoindre les voitures. Les 100 derniers mètres de l’ascension deviennent difficiles pour tout le monde. A cause des sabots sous les skis, nous avançons péniblement. Cette difficulté a vite été oubliée pour laisser place à de la très bonne neige attendue pour la descente.
La course s’est terminée autour d’un bon verre et d’une tranche de gâteau délicieuse à Feutersoey.








Sa 15 fév. 2025
Perfectionnement cascade de glace 2 jours (FC + PM
Le cours de perfectionnement cascade de glace, proposé par le guide Jérôme Henchoz, a eu lieu cette année entre Bourg-Saint-Pierre et Fionnay.
Après une première journée de mise en jambe, focalisée sur l’amélioration de la technique d’escalade, la 2ème journée a amené les participants dans la spectaculaire cascade de Bonatschiesse. Ambiance face nord au rendez-vous !
Une aventure qu’aucun d’entre nous n’est prêt d’oublier, et qui a permis de se familiariser avec les problèmes spécifiques des courses en cascade, particulièrement sur l’aspect sécurité, beaucoup plus sensible que dans des longues voies.
Un grand merci à Jérôme, qui nous a fait bénéficier de sa grande expérience en cascade, mais également pour son coaching efficace !






Di 9 fév. 2025
Le Grammont 2171 - Face Est depuis le Flon
Notre objectif initial était le Grammont et sa séduisant face est, mais l’enneigement en a décidé autrement. Heureusement, nos chefs de course David et Simon nous ont repéré un plan B en or : une jolie ribambelle de sommets entre le Col du Pillon et le Walighürli, où le congélateur du lac d’Arnon a conservé intacte la poudreuse du début du mois.
Ce changement de destination nous vaut cependant plusieurs désistements pour des raisons diverses et variées, comme la crainte des grands méchants embouteillages du dimanche soir… Mais c’était sans compter sur les capacités d’organisation hors pair de David et Simon, car nous finirons la course à temps pour redescendre du Pillon avant les skieurs. Dommage pour les démissionnaires, Walter et moi aurons le luxe d’avoir nos deux chefs de course pour nous tous seuls.
Nous démarrons du Col du Pillon vers 8h et gagnons le Col de Voré en même temps que le soleil. Déjà, les réjouissances commencent avec une magnifique descente sur le lac d’Arnon dans une poudreuse d’une légèreté inespérée. A l’alpage de Seeberg où nous repeautons, le soleil aussi est au rendez-vous. Journée extra bleu ciel et neige de cinéma au programme !
Nous n’étions pas forcément partis pour enchaîner tous les sommets sans exception jusqu’au Walighürli, mais cette poudreuse irrésistible nous les fait finalement enfiler comme les perles d’un collier. Parfois, nous optons pour de petites variantes, laissant de côté le sommet encombré de vernes pour lui préférer une bosse avoisinante encore libre de traces. David a le don de nous dénicher de petites combes dérobées à la poudreuse immaculée.
Après de jolies montées-descentes et joyeux bavardages, nous atteignons le Blattistand pour un pique-nique bien mérité, en compagnie de sympathiques bernois. Jusque-là nous étions seuls au monde dans ce petit paradis blanc. Mes compagnons de course ont la galanterie de me laisser le joli petit transat de pierre astucieusement disposé face au soleil et au panoramique massif des Diablerets pour accueillir un postérieur de pique-niqueur.
Hésitant à nous orienter sur Gsteig ou Feutersoey par la suite, nous tentons une descente dans la face sud-est du Blattistand, histoire de tester la qualité de la neige à cette exposition. Bonne, mais pas parfaite… Nous regagnons donc la crête sud-est du Walighürli pour rejoindre son sommet et skier son versant nord. Une quantité d’héliskieurs sont passés par là avant nous, mais en tirant sur la droite, nous parvenons encore à faire de belles traces dans la neige vierge à la limite de la forêt. Le terrain de jeu est presque infini, seulement délimité par la zone de tranquillité du versant est.
Nous arrivons finalement, skis aux pieds, à l’arrêt de bus de Feutersoey vers 14h, ce qui nous laisse une demi-heure avant l’arrivée du car postal pour prendre un verre sur la terrasse ensoleillée du café du village. Seule ombre au tableau, l’appui de fenêtre qui nous empêche de relâcher nos têtes contre le mur du chalet gorgé de soleil. Mais l’intrigant sac de sport d’un énigmatique homme d’affaires italien en pleine négociation téléphonique à côté de nous a vite fait de détourner notre attention de cet inconfort momentané. Nous serons finalement de retour au Pillon vers 15h, pleins de gratitude pour nos chefs de course du jour et les yeux encore remplis de paillettes de poudreuse.
Hélène








Ma 4 fév. 2025
Randonnée à ski du mardi
Comme un mardi ! avec Toto notre héro






Di 2 fév. 2025
Bonhomme du Tsapi
Ce dimanche, nous devions initialement nous diriger vers le Bonhomme du Tsapi. Mais, après un repérage minutieux la veille, notre chef de course, David Messerli, a décidé de changer de cap pour nous offrir des conditions optimales : direction la Pointe des Semeleys, au-dessus des Mosses.
Échauffement imprévu et première péripétie
Le rendez-vous était donné au parking Pinocchio à St-Légier à 7h25. De mon côté, ma mission matinale était claire : récupérer David P. à la gare de Vevey. Rien de bien sorcier... en théorie. Sauf qu’en sortant de la voiture pour l’accueillir, je referme la portière, avec les clés et mon téléphone à l’intérieur. Voilà comment, avant même d’avoir chaussé les skis, je me retrouve à faire un sprint improvisé jusqu’à chez moi pour récupérer le double des clés. Un bon échauffement, certes, mais pas tout à fait prévu au programme.
Avec cinq minutes de retard – un exploit, compte tenu des circonstances – nous rejoignons le groupe et partons à trois voitures en direction d’Aigle, où nous récupérons les trois derniers membres de l’expédition.
Quand la malchance s’acharne...
Une fois arrivés aux Mosses, le groupe est fin prêt, l’excitation monte... et moi, je réalise que mes bâtons sont restés dans la voiture d’Émilien. Pas de panique, me dis-je naïvement, il suffit d’ouvrir la voiture et de les récupérer. Mais ce serait trop simple : la télécommande ne répond pas et, cerise sur le gâteau, la serrure est hors service. Non seulement mes bâtons sont inaccessibles, mais la voiture elle-même devient une forteresse imprenable.
Émilien, avec un calme remarquable, appelle le garage, qui lui annonce une arrivée sous une heure. De mon côté, je file louer une paire de bâtons. Pendant ce temps, le reste du groupe démarre la montée pour éviter de prendre froid. Finalement, je parviens à rattraper le groupe avec le chef de course au Lac de Lioson, tandis qu’Émilien se promet de nous rejoindre une fois la voiture ouverte.
Face à nous, la Pointe des Semeleys s’élève fièrement, ses pentes promettant une belle montée et, surtout, une descente de rêve. La neige semble qualitative et la trace bien visible. Nous nous lançons dans l’ascension, enchaînant conversions après conversions, savourant l’effort et le paysage.
Arrivés au sommet, deux groupes se forment : certains poursuivent un peu plus haut sur la crête, tandis que d’autres s’arrêtent au col pour profiter du panorama. Nous avons tous une pensée pour le pauvre monsieur qui, au cours de la montée, a sûrement dû se faire le genou et qui redescendra avec moins d’entrain. Heureusement, au sommet, l’ambiance est festive : un skieur d’un autre groupe fête ses 43 ans et célèbre l’instant avec une magnifique forêt noire.
Puis vient le moment tant attendu : la descente. Et quelle descente ! Une neige étonamment agréable, des virages fluides, et des sourires qui en disent long. Un pur régal.
Épilogue et verre bien mérité
Pendant ce temps, Émilien a dû patienter pour l’intervention du garagiste, qui a pu dépanner la voiture, mais a tout de même pu entamer une partie de la montée, jusqu’à ce qu’il réalise s’être trompé d’itinéraire.
Finalement, nous nous retrouvons tous pour un verre bien mérité au tea-room. Décidemment avec tous ces soucis de voitures bloquées, cette journée aurait pu tourner à la comédie. Mais avec du beau temps, de la bonne neige et une ambiance au top, elle restera avant tout une superbe aventure en montagne !
Vivement la prochaine, avec – espérons-le – un peu moins de surprises logistiques !





Sa 1 fév. 2025
Weekend dans les Grisons
Refuge des dents du midi
En remplacement d’un weekend dans les Grisons, on prend le train direction les Marecottes. On est une équipe de 5 bien motivés afin de profiter d’une belle neige et d’un soleil de printemps.
Arrivés en haut des installations, la montée vers la Golette ressemble déjà à une autoroute…l’avantage c’est que nous bénéficierons de la trace des autres pour atteindre le col.
Nous avons pris certainement le contre pied de l’effet de groupe en redescendant vers le lac de Salanfe car on n’a plus croisé personne de la journée!
La descente vers le lac fut un pur régal de poudreuse…on a hésité à remonter au col d’Emmaney pour en refaire une mais les pentes sud en face de nous étaient trop alléchantes! Nous prîmes donc la direction du refuge des dents du midi! superbe choix, malgré la chaleur à la montée, avec un panorama à couper le souffle sur les 4000 du Valais et le Mont Blanc dans oublier nos belles dents du midi côté pile!
Depuis la cabane à nouveau une belle descente dans une neige légèrement revenue puis direction le barrage où l’on devra à nouveau repeauter pour un denier petit bout! Un derrière descente ludique sur le chemin menant à Van d’en haut/bas pour finir cette belle journée avec une super équipe! Une 20aine de kilomètres pour 1400D+





Di 26 jan. 2025
Sortie rando Ski - Fondue (débutant bienvenu(e))
Modification du programme initial qui prévoyait une découverte des Paccots vers Teysachaux avec le repas du midi à la buvette du Vuipay, mais en gardant l’objectif principal en tête : manger une fondue !
Donc direction Ovronnaz, avec une joyeuse équipe - David, Gianluca, Olga, Anna, Hugo, Lef et moi - qui se retrouve au bas des installations et qui démarre à 10h dans une ambiance enjouée ponctuée de blagues douteuses raffinées.
Après un départ en télésiège, les peaux sont mises un peu plus haut pour monter à la cabane de Fenestral où nous avons eu un super accueil, une fondue délicieuse, un pain à tomber et du fendant pour arroser le tout.
Ensuite, décision est prise de faire le portage au-dessus de la cabane pour aller trouver une belle pente pour la descente. Mais le fort vent a vite changé nos plans. Après avoir rangé les peaux et préparé les skis dans des conditions épiques, nous descendons dans une neige finalement plutôt agréable, jusqu’au télésiège censé nous ramener au domaine. Le vent l’ayant fait fermer, nous continuons de descendre par le chemin de forêt jusqu’à la piste puis jusqu’au départ du télésiège.
Une superbe sortie dans une ambiance au top, organisée par notre super chef de course, David. Merci à lui !
Tina








Sa 25 jan. 2025
Pointe de Bellevue
Une super sortie mais qui a du être décalée de la Pointe de Bellevue à la Palette pour des raisons d’enneigement pas fameux du côté de Morgins. On est partis du Col du Pillon direction Isenau, avant d’entamer l’ascension du sommet où on s’est retrouvés tout seuls 🤩 Après la descente et une pause pic-nic, on est remontés vers le col de Voré avant de redescendre dans une neige pas toute facile vers le col du Pillon via les sentiers raquettes.
Merci à Annick pour toute l’organisation et d’avoir réussis à planifier une magnifique sortie malgré des conditions pas toutes simples.








Sa 25 jan. 2025
Le Chantonnet 2'576 m
Bonne équipe motivée mais le temps et surtout le vent fût plus fort que nous !






Sa 25 jan. 2025
Mont Rogneux alt. 3083
Une très belle journée pour un petit groupe de trois skieurs experts comme Simon, David et Hugo, plus un débutant très motivé (Gianluca naturellement).
La montée au col a été plus rapide que prévu grâce à un temps ensoleillé incroyable et à l'absence de passages raides, très adapté à tout le monde.
Au col, les 3/4 du groupe ont décidé de commencer la descente au lieu de monter le Mont Rogneaux. Décision très judicieuse car la descente depuis le sommet était un peu trop raide et pas adaptée au débutant.
La descente a été particulièrement longue, constellée de nombreuses chutes à cause de l'inexpérience dans la poudreuse. Beaucoup de patience de la part des chefs de courses, ce dont je suis vraiment reconnaissant. C'était très difficile (pour moi) mais j'ai beaucoup appris, une excellente compagnie et une excellente organisation.
Gianluca







Ma 21 jan. 2025
Sortie du mardi
Col des Ecandies (alt. 1780 m)
Christiane, nous avait prévenu; Il fera froid!!!
Nous allons faire environ 1000m en dénivelé positif à l’ombre.. Val d’Arpette ; Col des Encandies .
Christiane donne le rythme d’un bon pas. Arrivée en haut du Col après 3 h , nous pic niquons avec un panorama magnifique .
La descente s’effectue avec un choix : à droite :la voie classique, ou à gauche, variante un peu plus engagée et sans trace … un petit groupe suit Christiane dans cette direction… grandiose et vue aérienne! C’est super, nous retrouvons notre âme d’enfant avec les virages courts . Tous ravis , nous slalomons dans la forêt derrière Christiane .
Nous nous retrouvons tous au salon de thé de Champex , le sourire aux lèvres. Mille Mercis Christiane , et Toto ,pour avoir institué les mardis !!!🙏
Pascale








Di 19 jan. 2025
Gantrisch
Mireille et Vincent, nos guides hors normes, ont accueilli neuf membres intrépides du club alpin dans le charmant village de Finhaut.
L’ambiance était déjà au top, malgré l’heure matinale où le soleil n’était même pas encore sorti de sous sa couette de nuages.
Avec nos skis de randonnée, nous avons fièrement entamé notre ascension.
Bon, 15 minutes plus tard, c’était déjà le moment de les déchausser pour une petite session de crapahutage sur terre.
Une excellente manière de réchauffer les mollets tout en se demandant pourquoi on avait choisi ce loisir.
Après quelques pauses stratégiques – et totalement méritées – il a fallu sortir les couteaux. Pas pour un pique-nique, mais pour s’attaquer à la montée avec un peu plus de mordant.
Et parce que l’aventure ne serait pas complète sans une touche de nouveauté, j’ai eu l’honneur (ou l’épreuve) de tester les crampons pour la première fois.
(Spoiler : les fixer correctement relève presque de l’art, mais après quelques essais laborieux et un tutoriel express, mission accomplie !)
La cerise sur le gâteau nous attendait 100 mètres plus haut, au col de Fenestral, avec une vue à couper le souffle.
C’était le genre de moment où on oublie la sueur, les crampons mal fixés et les montées sans fin. Enfin presque.
La descente nous a ensuite réservé un couloir étroit, sécurisé et prêt à nous offrir quelques virages mémorables.
Bon, la neige n’était pas exactement fabuleuse – disons qu’elle avait vu des jours meilleurs – mais qu’importe, on s’est régalés (et pas seulement de glissades).
Pour clore cette belle journée en beauté, direction la Fromathèque à Martigny. On a trinqué à notre aventure et à notre équipe du tonnerre.
Un immense merci à Mireille et Vincent, guides et compagnons d’exception, pour cette expérience inoubliable. Promis, la prochaine fois, on maîtrisera mieux les crampons…
Roman








Sa 18 jan. 2025
Initiation à la randonnée à skis (FC)
Super journée qui a débuté par un moment convivial autour d’un café. La première montée s’est faite dans une bonne ambiance tout en apprenant les techniques de conversion. Un rappel des règles du respect de la faune, l'utilisation de carte, le calcul de la pente et un entraînement d’orientation nous ont permis d’en apprendre davantage sur la randonnée à ski. La deuxième montée, plus raide, a donné du fil à retordre. L’esprit d’équipe, la solidarité et la persévérence des participants auront permis à tous d’arriver au sommet. Le sourire se lisait sur tous les visages et le soleil radieux n’a fait qu’embellir cette jolie journée.
Un grand merci à Vivien pour l’organisation, l’accompagnement et son partage d’expérience. Et merci aux participants pour leur bonne humeur.








Ma 14 jan. 2025
Randonnée à ski du mardi
Le premier programme était d’aller à la Tête à Josué depuis l’Etivaz.
Nous commençons la journée à 8h20 au parking de Chailly à Montreux. Mais voilà, après discussions, changement de cap : direction le Val Ferret. La Tête à Josué, ce sera pour une autre fois. Place à l’improvisation !
Nous voilà en route pour poser les voitures à Le Clou, à La Fouly. Départ skis aux pieds et motivation dans les jambes. Objectif : Chantonnet, 2576 mètres d’altitude.
La montée ? Un peu moins de 1000 mètres de dénivelé en 3h30, avec des petites pauses. Entre le vent frisquet et le grand beau, la météo jouait à « tu veux chaud ou tu veux froid ? ». Arrivés au sommet, nous avons une belle vue sur les sommets environnants avec l’Italie en face. A l’abri du vent, on profite de pique-niquer.
La descente ? Une petite heure. De la poudreuse tassée, travaillée par le vent, elle s’avère par endroits technique. On suit les conseils avisés de Jacques pour les passages un peu exigeants.
Retour à La Fouly, on s’installe sur la terrasse du bistrot Le Glacier pour une fin de journée bien méritée : bière pour les uns, café ou thé pour les autres.
Merci à Carmen et Jacques pour cette belle sortie.
Récit : Lauranne








Di 12 jan. 2025
Préalpes vaudoises
La semaine qui précédait cette sortie a été caractérisée par un temps couvert et de nombreuses précipitations, avec une limite pluie-neige qui a été plusieurs jours en basse altitude. Celle-ci est remontée très haut, à 1500 m et plus, l’avant veille de la sortie, pour finalement redescendre. Cela a permis une nouvelle couche de neige fraîche bienvenue pour notre course, sur celle de fond consolidée par la pluie. La météo s’est améliorée pour dimanche avec un temps dégagé mais très froid avec un fort vent de bise. Nos chefs de course, Mireille, assistée de Robert, ont choisi de nous amener au col du Pillon, pour la traversée au-dessus de l’Arnensee jusqu’à Gsteig.
Le rendez-vous a été fixé au parking du Pinocchio à 7h15 et un peu plus tard à Aigle pour ceux qui arrivaient en train. Nous avons ainsi débuté la course vers 8h30. Notre groupe, dix participants en plus de nos 2 chefs de course, est parti en direction du col de Voré. En montant on observait la neige soufflée par le vent, et tomber et ruisseler en petites coulées dans la pente. Une forte bise nous a accueilli à l’arrivée au col. La descente sur Seeberg a été la première occasion de jouir d’une qualité de neige vraiment excellente. Genre «ça tourne tout seul !»ou «qu’est-ce que je skie bien..» :-). Nous avons ensuite remis les peaux pour remonter vers notre premier sommet, le Seeberghore, suivi d’une nouvelle magnifique descente. Puis remontée vers le 2e sommet, le Stuedelistand, et à nouveau une belle et longue descente dans une pente large et immaculée. Le panorama et la nature étaient très beaux avec la neige fraîche encore sur les sommets et les sapins. Nouvelle remontée jusqu’au Plattipass puis jusqu’à notre dernier sommet le Walighürli. Descente par la crête sud-est puis par les pâturages jusqu’à Gsteig. Un pot sympathique au Bären a été écourté par la nécessité de prendre le bus pour remonter au Pillon.
Ce fut une très belle sortie, l’ambiance était excellente de même que les conditions. Un grand merci à Mireille et Robert !
Participants : Ariane, Chantal, Dominique, Florian, Hélène, Joachim, Julien, Nicole et Olga.
Récit : Thomas.
Le retour fut assez long, environ 2 heures de route, en raison des bouchons de retour du Valais en fin de week-end.








Di 5 jan. 2025
Roc de Rianda, 1951m
A cause de la pluie prévue le dimanche et des mauvaises conditions d’avalanche, la sortie au Roc de Rianda a été déplacée au Folly/Mollard et avancée d’un jour.
Super météo le matin, puis les nuages se sont installés dans l’arpès-midi, donnant une belle ambiance avec de magnifiques coups d’oeils sur le Léman.
Une image vaut mille mots, alors les voici ci-dessous.
Merci Carmen et Christianne pour l’organisation








Lu 30 déc. 2024
Ski au Molard
La journée s'annonçait parfaite pour cette sortie. Nous étions une équipe de sept. Notre point de départ était le restaurant de la Cergniaulaz. En passant devant le chalet de la Planiaz, nous avions une belle vue sur le Rochers-de-Naye. Deux membres de notre groupe ont décidé de mettre les couteaux par précaution, assurant ainsi une montée plus sécurisée. Le reste de l'ascension jusqu'au sommet du Molard s'est déroulé sans encombre, et nous avons atteint le sommet avec facilité.
La descente vers le col de la Forclaz a été un peu plus compliquée à cause d’un léger manque de neige pour cacher les vernes. Deux participants ont choisi de rester sur un banc au soleil devant le chalet, profitant de la chaleur et de la vue. Pendant ce temps, le reste du groupe est monté en direction du Folly afin d’exercer les conversions.
Finalement, nous nous sommes tous retrouvés pour descendre ensemble dans le Vallon d'Orgevaux. La journée s'est terminée en beauté avec un verre bien mérité chez Compondu à Blonay. Le soleil brillait et il n'y avait pas un souffle de vent, rendant cette journée de ski de randonnée très agréable.






Di 29 déc. 2024
Sortie Ski Rando - Palanche de la Cretta
Des maisons pour Tina... ou le récit d’une journée splendide en altitude !
Dimanche 29 décembre, dix motivés partent en direction de la Palanche de la Cretta… David, notre chef de course, nous avait averti que les conditions ne seraient pas optimales, mais que la vue serait au rendez-vous… et pourtant… nous n’avons pas fait un mauvais virage et avons même trouvé de la belle poudre !
Il ne fallait pas partir trop tôt pour profiter du soleil. Partis skis aux pieds vers 9 h 30 (à cause des retardataires qui pensaient qu'il suffisait de 30 minutes pour faire la gare de Sion - le parking de la Coutaz), nous avons avancé tranquillement dans la montée. Il fait un peu frais au début, mais les couches s’enlèvent au fur et à mesure que l’on s’élève. Tina, qui nous avait avertis dès le début qu’elle n’était pas en forme, a rêvé à tous les mayens de pouvoir s’arrêter au chalet qui se trouvait sur son chemin… mais que nenni ! Nous l’avons encouragée, motivée et accompagnée, et elle était avec nous au sommet vers 13 heures, dans le timing prévu par notre chef de course, qui a été gratifié d’un chant d’anniversaire pour son arrivée au sommet ! En effet, David avait décidé de fêter ses 28 ans (selon le décompte de Paola – les initiés comprendront) en nous emmenant sur les sommets.
Après une belle pause pique-nique sans vent et au chaud sur les cailloux (le sommet a été ravagé par le vent), nous entamons une belle descente. En choisissant bien les expositions de pente, nous prenons de beaux virages, même si un changement de neige a valu une chute épique à notre chef.
La course s’est terminée par un verre au soleil à La Sage afin de fêter tous ces exploits. Encore un énorme merci à David pour cette course et à toutes et tous pour la bonne humeur et la bienveillance de la journée.
Mélanie Burnier







Sa 21 déc. 2024
Cours avalanche II (FC)
Le cours avalanche 2 de cette année a eu lieu à Bourg-Saint-Pierre, étalé sur deux jours, et organisé comme d’habitude par Jean-François Savary (guide), avec en refort les guides Nico Vuadens, Jérémie Gentizon et Serge Thélin. Ce cours est encore une fois plébiscité, avec environs 25 participants !
Des rappels théoriques ont été donné depuis le bivouac Napoléon le samedi, suivi d’exercice sur le terrain, en profitant des installations de ski à Vichère.
Dimanche la meteo s’est dégradée, mais nous nous sommes néanmoins rendu sur le terrain, dans des conditions de sécurité parfaitement acceptables.
Chapeau à nos guides, qui ont offert un encadrement impeccable, comme à leur habitude !



Ma 17 déc. 2024
Randonnée à ski du mardi
En ce matin de décembre à peine voilé, les troupes du mardi n’ont pas encore rappelé tous les réservistes : nous ne sommes que seize à répondre à l’ordre de marche de notre général en chef Toto, qui s’apprête à mener audacieusement notre cohorte à l’assaut des montagnes redoutées qui enserrent le col du Pillon. Sage décision, nous ne nous attaquerons pas aux falaises escarpées des Diablerets, déjà assaillies par les troupes japonaises et chinoises de la télécabine, mais prendrons subtilement par le revers en direction de la Floriette (ou de la Palette, « on verra bien »). Notre commandant, fin tacticien, divise son armada en deux escadrons, dans le but de prendre en tenaille l’ennemi : un groupe, sous la direction ferme de Jacques, attaquera par l’est en gravissant l’effrayant col du Voré, l’autre par l’ouest en longeant les eaux sombres du lac Retaud pour monter « tranquillement, on a le temps » par Isenau. La tactique est payante, puisque les deux unités se retrouvent en même temps au col des Anderets. Brève inquiétude toutefois : au point de jonction, il manque à l’appel Jacques, le commandant du groupe Grandjean, heureusement remplacé par son aide de camp Nicole. Mais où est-il passé ? Il est simplement parti en éclaireur pour vérifier la présence de l’ennemi et nous rejoint bientôt. En bon ordre, les deux unités repartent groupées à l’assaut du sommet -la Palette finalement- et s’y entassent, formant une barrière quasi inexpugnable.
Mais la guerre ne nous laisse pas longtemps en repos : il semble que nous devions rapidement changer de position et descendre en direction du lac d’Arnon. Nous franchissons bientôt sans coup férir la frontière (le Sonderbund avait pourtant déjà échauffé les esprits de ces contrées primitives) et profitons d’un replat bien dissimulé pour ravitailler, tandis que l’intrépide phalange de Nicole (mais qui gouverne chez eux ? Le prétendu commandant Jacques craque en voyant l’équipe cuisine et laisse son gouvernement mener l’opération. Il serait peut-être temps de redistribuer les cartes de la hiérarchie…), que l’intrépide phalange de Nicole, disais-je, sans même prendre le temps de se sustenter, pousse l’attaque jusqu’au lac Arnon, ou plutôt l’Arnensee, réservoir d’eau potable de l’ennemi teuton.
Folles d’inquiétude, les troupes repues remontent pourtant jusqu’au sommet sans nom (pt 2058), espérant voir poindre au loin la colonne Nicole, du moins quelques rescapés. La chance est avec nous : le bataillon entier se retrouve sain et sauf au col du Voré, pour un banquet final digne d’Obélix : sandwichs, chocolats, gâteau (de Nicole ! Kü-Chef et patronne de la section d’assaut : elle mérite décidément une promotion !) marquent l’achèvement de cette héroïque épopée.
Fin de l’épopée ? On a chanté trop vite ! Le commandant en chef Toto reprend les rênes et nous intime l’ordre de descendre une pente très exposée, un terrain miné qui laissera des stigmates ineffaçables sous les skis de nos valeureux soldats. Après une brève hésitation (à gauche ? à droite ? tout droit ?), notre chef résolu nous conduit d’une main de fer à bon port. Nous retrouvons les véhicules au Pillon pour un retour fatigué mais content aux casernes.
Ave Caesar Toto ! Vae victis !
La troupe: Toto, Jacques, Nicole, Dominique, Sylvie, Pascale, Carmen, Juliette, Thomas, Daniel, Jacques, André, Alexandre, Fabien, René et Vivien (récit)








Sa 14 déc. 2024
Noël au chalet de Jaman
Sous la neige, une petite équipe de la Commission du chalet de Jaman est montée pour le chauffer. Arrivée peu avant midi, température à l’intérieur du chalet 4 degrés. Au plus vite, nous avons fait le feu dans le four à bois et le poêle. Nous avons mangé, avec bonnet et doudounne, nos sandwiches sortis du sac accompagnés d’un bon thé chaud.
Les décorateurs se sont mis au travail afin de préparer le sapin, de mettre la table, de rendre le chalet accueillant tandis que la cuisinière et le cuisinier s’attelaient à éplucher les légumes, les couper, rôtir la viande, préparer du vin chaud et du thé de Noël pour les clubistes.
16h30 arrivèrent les premiers membres de Jaman, frigorifiés et bien enneigés. La chaleur du chalet était la bienvenue pour les réchauffer et faire sécher les habits. Puis gentiment les autres clubistes se manifestèrent, à la queue leu leu.
L’apéro, le repas et la soirée se poursuivirent dans une ambiance conviviale, chaleureuse. Cette année nous avons eu deux histoires de Noël, soit un extrait du discours de Monsieur Junker (président de la Section en 1935) lu par Pierre et le conte de l’étoile de Bethléem par Marie-Anne.
Merci à toutes et tous, pour cette jolie soirée conviviale et chaleureuse.








Ma 3 déc. 2024
Randonnée à ski du mardi
Et c’est parti, la saison 2024 – 2025 est lancée ! L’objectif de la première sortie de mise en jambe menée par Toto était tout d’abord Vichères-Bavon, mais vu les conditions d’enneigement défavorables, nous décidons d’aller vers le Grand Saint Bernard, où quelques éclaircies laissaient présager des conditions prometteuses. Avec les quelques centimètres de neige fraîche tombées durant la nuit, l’ambiance est hivernale, mais la température aussi ! Le soleil restant capricieux, nous avons finalement opté pour le confort de l’hospice plutôt qu’à un col de Barasson dans le brouillard. Et c’est sans regret que nous sommes redescendu joyeusement réchauffés et repus sur la route du col. Mais voilà qu’à mi-parcours, Jacques et quelques chef-fe-s de courses nous avaient concocté une simulation avalanche dans laquelle notre chef de course aurait été enseveli et que, nous les participants, devions sauver. Exercice enrichissant, mais il y a encore des progrès à faire ! ;-) Merci Toto pour cette première !








Ve 22 nov. 2024
Soirée de remerciements des Chefs-fes de courses
Merci à la commission pour cette belle soirée.
Fred








Di 3 nov. 2024
Escalade automnale en mobilité douce
Ce week-end, Tim nous a proposé une sortie grimpe en falaise dans un des plus beaux sites de grimpes automnale du Bas Valais (et loin à la ronde) : Chemin-Dessus.
Avec sa vue plongeante sur les forêts aux couleurs changentes du Catogne, ainsi que sur les Ecandies, sans compter l’excellent granit dont est fait ce secteur, Chemin est une destination de choix pour une sortie de ce genre.
Et la foule était au rendez-vous, nous n’étions pas moins de 12 participants, sans compter les autres usagers du site. Si l’arrivée de tous les grimpeurs le matin, au pied de la falaise, était un peu tumultueuse, nous n’avons pas tardé à nous répartir sur ce grand secteur, redonnant au site le calme qu’il mérite.
Après une arrivée sur site aux alentours de 9.00, plusieurs d’entre nous ont grimpé jusqu’aux alentours de 16.30, bénéficiant jusqu’à là d’un soleil et d’une chaleur inhabituelle pour un mois de novembre.
Un grand merci encore une fois à Tim pour l’excellente coordination de cette sortie !




Sa 12 oct. 2024
Grimpe et chasse
Superbe journée de grimpe sur le thème de la chasse. Nos grimpeurs du jour ont surtout chassé les spits qui étaient au ressenti de certains un peu trop éloignés ;)
Stéphane, super chef de course, a organisé un covoiturage optimisé à destination du spot d’Arbaz. Belle paroi école de calcaire au milieu des arbres. Il y en avait pour tous «nos» niveaux. Belle ambiance qui nous a poussé à nous dépasser. S’être lever tôt a payé. Nous étions les premiers sur le spot et avons pu nous chauffé les doigts en douceur avant la venue des familles du coin.
Nous avons pu profiter de la belle vue sur les montagne valaisannes à la pause repas.
Nous nous sommes arrêter vers 17h pour nous diriger vers la bière bien méritée:) à la laiterie d’Arbaz. Très joli chalet pour rester dans une belle ambiance.
Après la grimpe, la chasse !
Stéphane a sélectionné un des meilleurs restaurant de chasse, «L’étoile» à Noville. Très bon accueil, très bon service et très bonne chasse ! Un menu 4* proposant des assiettes aussi belles à regarder qu’à déguster.
Merci à tous pour cette très belle journée.








Ve 11 oct. 2024
Animation
Pour la première brisolée du chalet de Jaman (vendredi soir et samedi à midi), la commission a été ravie d’accueillir une trentaine de membres de la Section ; des mercredistes, des jeudistes, des anciens qui renouaient avec la section, des actifs de longue date ou tout récemment entrés au club, des papas avec leurs enfants.
Le vendredi, certains sont allés rendre visite aux ornithologues (qui occupent le chalet depuis le mois d’août pour le baguage des oiseaux au col) et le samedi, sous la houlette de notre GO Bernard une balade du côté de Pierra Porcha – Les Cases et retour au chalet était au programme.
Deux jours durant lesquels les clubistes ont pu échanger, raconter les souvenirs et les anecdotes. Ils étaient contents de partager un moment convivial entre eux. Les papilles gustatives de nos hôtes ont été comblées par nos spécialistes du brisoloire, André et François, par les châtaignes accompagnées de fromage (Jaman et Filistin du fromager Marc du col de Jaman, de girolle de tête de moine et de vacherin Mont d’Or) ainsi qu’un peu de viande froide et quelques fruits de saison.
Pour clore la saison, la commission avait décidé d’inviter le fromager Marc et son employé afin de lui remettre une petite attention pour les services rendus durant l’ouverture du chalet (livraison du gaz, bois, etc..).
Un grand merci à tous les participants pour ces moments de partage et d’amitiés et à l’équipe de la commission qui répond toujours présent lors des différents travaux ou animations du chalet.
Marlyse 😊, intendante








Di 6 oct. 2024
Dent Rouge
S’adapter, toujours ! Voilà qui fut le mot d’ordre de cette sympathique course. Avant même le départ, l’enneigement nous força à changer l’itinéraire prévu, une belle boucle dans les vallons de Javerne et d’Eurzanne, pour un tracé plus direct mais pas moins esthétique vers notre objectif du jour. Une fois à la Dent Rouge, le vent mordant apportant avec lui des voiles d’une légère brume nous imposa, encore une fois, de ne pas tous s’attendre au sommet comme prévu et de poser une piste de rappel entre les deux voies possibles à la montée, improvisant ainsi une sorte de parcours rapide permettant à tout le groupe de profiter de l’agréable escalade sans trop attendre au froid en haut, ni se faire descendre en rappel dessus ! Une fois en bas, midi à peine passés, c’est dans l’enthousiasme général que nous adaptâmes une fois encore le programme, en y rajoutant l’ascension de la toute proche Pointe des Savolères, ascension prudente à cause de la pente herbeuse raide et grasse mais joliment récompensée par une vue magnifique sur un paysage de contrastes: roches, neige, mélèzes et prairies dans toutes les multiples couleurs de l’automne. Nous descendîmes alors quelques centaines de mètres dans un terrain “déchiré” de blocs glissants et gelés et de boue propices à quelques chutes acrobatiques heureusement plus divertissantes que malheureuses, pour enfin retrouver le chemin des voitures et d’un pot bien mérité au “Chalet Heidi”, dont l’hospitalité, les bières et les spécialités méritent d’être plus que vantées. Merci à tous !








Sa 5 oct. 2024
Escalade à la Falaise du Vrieux
Participant(e)s : Daniela Jacot (CdC), Alain Jacot, Chantale Wenger, Carolina, Walther Reichhold, Oliver Kenyon, Joachim Desroches, Philippe Urner
Site d’escalade : vallon d’Arpette de Saleina, direction « prise d’eau », parking à 1300m, sentier raide en forêt à droite de la route forestière juste après le parking.
Conditions : exposition Sud, grimpe agréable au soleil, même pour un mois d’octobre, excellent gneiss bien adhérent. Grandes voies de 2-3 longueurs (5b à 6a+) avec quelques « moulinettes » (4 à 6b+). Escalade principalement en « dalle », avec quelques pas fins et intéressants en « réglettes-grattons ».
Attention au cotations « valaisannes » : certains 5c sont plutôt du 6a !
Bilan de la journée : un grand merci à Daniela pour cette découverte d’un site magique, peu fréquenté, pour une escalade exigeante sur un rocher parfait. Très bonne ambiance au sein des 4 cordées homogènes (dont l’une anglophone : Oliver a peu progressé en français avec Joachim !).
Philippe Urner




Sa 21 sept. 2024
Trübelstock 2998m
Mont-Brûlé
"Au premier jour de l’automne, comme des milliers d'automne auparavant, le Mont-Brûlé, montagne au nom énigmatique, surplombe le petit village typique valaisan de Commeire. Le temps était encore chaud et d’été, mais les feuilles des myrtilliers sur le flanc Sud-ouest du sommet viraient au rouge. Donnant l’impression à la montagne de ressortir d’un brasier, probablement l’inspiration de son nom.
L’ascension a duré 3h environ et même lapse pour la redescende. Elle fut sans encombre, mise à part de nouvelles chaussures de marche capricieuses chez un des participants. La vue en valait la peine en tout cas !
La température était agréable, sauf au sommet où il faisait un peu trop froid quand le vent s’est levé pour être confortable de rester sur place. Autrement le soleil était présent et quelques nuages, qui sont malheureusement restés sur les sommets pour la plupart, n’ont pas été trop désagréables.
En résumé, ce fut une balade très agréable avec un défi dû au dénivelé, mais qui n’était pas insurmontable. Une belle expérience et de belles rencontres !" Thomas ARcelin








Di 15 sept. 2024
Longue voie: Bravo Lapp (Dalle à Bornet)
Jolie longue voie aux saveurs automnales 🍂🍄🍃
Une dizaine de longueurs bien équipées, deux cordées (Daniel/André, Stéphane/Chantale). Orientation sud-est, ce qui a signifié...s🌞leil.
Une verticalité « dolce vita » bien appréciée : merci Daniel 😀
Chantale








Sa 14 sept. 2024
Mäntliser
Un week-end qui pourrait s’appeler “Parfois la meteo fait très bien les choses” ou alors “Quand le plan C est presque mieux que le plan A”.
Inscrit pour le Mäntliser, le projet fut redirigé vers la cabane Sewen, pour terminer dans le val d’Aoste, plus précisément à Champorcher, en raison du front glacial accablant le nord des Alpes ces derniers jours.
Tous les participants ont été ravis par 3 journées de grimpe sportive et alpine, entre les placche Oriana à Courtil, le bec Raty et finalement le fameux Paretone à Arnad.
Comblés par une météo parfaite et une gastronomie valdôtaine savoureuse, logés tout confort à l’hôtel Beau-Séjour de Champorcher, nous sommes tous rentrés avec un grand sourire sur le visage après un weekend de grimpe exceptionnel ! Un grand merci à Marc qui s’est démené pour sauver cette courses des affres météorologiques!








Me 11 sept. 2024
Pigne d'la Lé+Pointes de Mourti 3563m, par larête
Voila voila,
Météo vraiment pas top.
ça pourrait passer sur un autre projet à la Foulie mais les participants ne sont pas du tout motivés. C’est dommage car ça passerait sur des petites courses d’arête à la journée.
Pour finir, une seule personne est motivée mais je décide de ne pas maintenir et ça l’arrange bien aussi. Nous allons au job.
J’aurais maintenue si nous avions été 4 .
Voila voila,
Météo ...
Sa 31 août 2024
Courone de Bréona
Récit de course un poil expéditif, mais plein de gratitude envers notre CdC, qui a encadré notre groupe avec un grand savoir-faire.
Nos 3 cordées ont été relativement efficaces, pour une traversée du col de la Couronne à celui de Breona en 5h30.
Cette arête est un super terrain d’entraînement où toutes les techniques de progressions sont mises en application, sans compter une bonne dose de désescalade, et avec le minimum d’équipement en place. Le rocher est globalement bon, mais la pose de friends demandent beaucoup se précaution, en raison de l’omniprésence de liquen dans les fissures.
Une bien belle journée en montagne, où la meteo a été de notre côté, et où l’on a croisé bien peu de cordées !





Sa 31 août 2024
Initiation et formation au canyoning
Samedi matin, 8h45, rendez-vous fixé derrière la gare de Vevey. Le petit groupe se forme, tout sourire aux lèvres, à l'idée de découvrir pour certains, pour la première fois, les joies du canyoning, ou de renfiler une combinaison pour d'autres (car évidemment, le meilleur moment de la journée, c'est quand on met ou on enlève la combi dans ce sport ;)).
Première étape : direction Charmey pour une petite halte café et croissants afin de faire connaissance, discuter des attentes de chacun pour le week-end et échanger sur les expériences utiles de tous. Dans notre groupe, on trouve un peu de tout : des personnes n'ayant jamais pratiqué et ayant une furieuse envie de découverte, et d'autres qui en ont déjà fait plusieurs fois, mais qui sont tout aussi heureux de pouvoir renfiler une combi et s'y adonner près de chez eux. Après cette mise en bouche, départ pour entrer dans le vif du sujet avec le canyon du Petit Mont. Il s’agit d’un canyon de niveau intermédiaire, parfait pour débuter. Tout d'abord, nous voyons les manipulations en binôme durant la première demi-heure. Et c’est parti pour une succession de cascades et de toboggans, idéal pour s'entraîner aux manips :) Nous avons même droit à deux jolis sauts, pour le plus grand bonheur des plus téméraires ! Et pour finir le canyon, une cascade de 25 mètres :) En fin de parcours, tout le monde a le sourire aux lèvres et l'envie de repartir pour un tour. Après avoir ôté les combis et récupéré les voitures, nous nous retrouvons autour d'une bière au pied du téléphérique de Charmey. On débriefe la journée et Jérôme nous propose deux options pour le lendemain : un canyon vers Conthey, de niveau intermédiaire, très impressionnant, ou le canyon de l'Eau Froide, près de Roche, plus engagé. Le choix est vite fait et se porte sur le canyon de l'Eau Froide :)
Dimanche matin, rendez-vous à 9h15 à Roche. Une petite marche d'approche nous attend pour rejoindre l'entrée de la partie basse du canyon. Jérôme nous apprend à faire un sac à dos avec la combi, pour transporter notre matériel. Une marche de 45 minutes sur un joli sentier en forêt nous conduit au sommet. Juste avant, nous faisons une halte sur un pont qui nous permet d'apercevoir les deux premières cascades. Jérôme nous demande alors de réfléchir à comment nous envisageons chaque obstacle. Puis c’est parti :) Première cascade de 32 mètres, avec un toboggan possible de 20 mètres. Heureusement, la hauteur est ajustable selon la témérité de chacun ! Et, en plus, elle est facilement refaisable grâce à une corde fixe qui permet de regagner le début de la cascade :) De quoi accrocher un sourire sur tous les visages, un sourire qui n'est pas près de disparaître ! S'ensuit une succession de cascades et de toboggans, tous plus beaux les uns que les autres. Jérôme nous demande aussi de gérer les obstacles. On envoie l'un de nous en éclaireur pour vérifier s'il y a assez de fond pour faire un toboggan. Pendant que les uns finissent de descendre, les autres rangent les cordes ou installent le prochain relais. Tout se déroule fluidement, dans une chouette ambiance de groupe :) Nous terminons le canyon par un joli bassin où il est possible de faire un saut de 8 mètres ! À la fin du canyon, Jérôme nous annonce qu'il a vu qu'une cellule orageuse pourrait arriver plus tôt que prévu, c'est pourquoi il nous avait fait accélérer un peu. Nous ne traînons pas pour sortir du canyon et terminons par un joli débrief. Tout le monde est enchanté par l'expérience et reconnaissant pour la belle ambiance que nous avons eue. Alors, merci Jérôme d'avoir proposé ce beau week-end, et vivement la prochaine sortie :)








Ma 20 août 2024
Granit d'Orny
Une dizaine de questions sous forme de quizz, dans le but de révéler quelques éléments forts de la sortie Granit d'Orny. Les réponses possibles sont soit « JUSTE », soit « FAUX » !!!!!
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1) Pour cette sortie, le nombre d'inscrits maximal (six) proposé par les deux chefs de course a été respecté.
Rép : C'est faux. Outre Toto (chef de course), Jacques Grandjean (chef de course adjoint), il
y avait huit autres participants : Nicole Frei-Grandjean, Ariane Gachet, Isabelle Waser, Chantale Wenger, Daniel Egli, Pierre Egli, Pierre Bornet et André Waser.
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2) Beaucoup de petites fleurs jalonnent le parcours de la montée à la cabane Orny. Mais il n'y a pas que des petites fleurs végétales, l'une d'entre elle est minérale.
Rép : C'est vrai. Aux (environ) 3/4 de la montée à la cabane, une voie (bien équipée) porte le nom de « Petite fleur ». Longueurs magnifiques (4), aux difficultés modestes, gravies par trois cordées : Toto-Ariane, André-Isabelle et Daniel-Pierre E. Les autres membres du groupe ont profité de quelques petites longueurs sises derrière la cabane.
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3) Comme de coutume, la cabane était bondée.
Rép : C'est faux. Nous avons eu la chance de résider dans une cabane à moitié pleine. De bonnes dates (en semaine, après les vacances d’été) choisies par notre chef !
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4) Comme il n'y a pratiquement pas de grimpe sur blocs aux alentours de la cabane, on ne voit nulle part de tapis de sol (crashpad). Il existe néanmoins une moquette en amont de la cabane... bizarre !
Rép : C'est vrai. « Moquette » est le nom d'une voie de neuf longueurs, bien équipée, à environ trois quarts d'heure de marche de la cabane. Quatre cordées ont profité de ce magnifique parcours : Toto-Ariane, André-Isabelle, Pierre B-Chantale, Pierre E-Daniel. Jacques et Nicole, quant à eux, sont partis, au petit matin, en direction de « Petite Fourche ».
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5) La grande baignoire qui jouxte l'emplacement de l'ancienne cabane Orny est toujours présente.
Rép : C'est vrai... Petit lac accueillant et suffisamment intéressant pour que trois valeureux grimpeurs en profitent pour une petite baignade... plutôt fraiche.
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6) A mi-parcours de l'itinéraire de montée à la cabane se trouve un grand plateau : le Plan de l'Arche. Ce nom a été donné par un géographe qui appréciait particulièrement Kevin Costner et les Aventuriers de l'Arche perdue.
Rép : C'est faux (évidemment!). Ce plateau est bordé de montagnes, le tout ressemblant à une arche, telle l'Arche de Noé...
7) Un invité surprise, grimpeur de niveau mondial, a partagé notre repas du jeudi soir.
Rép : C'est vrai. Il s'agit de Didier Berthod, ami de Jacques Grandjean, qui nous a fait
l'honneur de sa présence. Grand moment de partage avec Didier, personnage au parcours de vie atypique, doté d'une personnalité très attachante.
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8) Le nombre de participants montant à pied à la cabane, n'est pas le même que celui pour la descente.
Rép : C'est vrai (malheureusement). Nicole est descendue en hélicoptère pour se faire recoudre une blessure à la jambe, après avoir rencontré fort malencontreusement un rocher trop acéré.
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9) Les belles voies nommées « Bon accueil », « Namaste » et « Tichodrome » ont clôturé ces trois jours de grimpe.
Rép : C'est vrai. L'équipe entière s'est répartie dans ces trois merveilles qui, toutes, arrivent au même sommet.
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10) Toto a décidé que, pour le programme de la section, il n'organiserait plus de sorties estivales sur plusieurs jours
Rép : C'est (malheureusement) vrai... jusqu'à preuve du contraire !
Telle est sa décision. Voilà l'occasion pour nous de te remercier, Toto, pour ton enthousiasme communicatif, ton optimisme et ta bonne humeur, cocktail si important pour la qualité de l'ambiance d'un groupe. Ton organisation et le choix de tes itinéraires méritent, une fois de plus, une « gommette »...André








Lu 19 août 2024
Arête des Verraux
voila voila,
Mauvaises conditions météo.
Nous sommes allé grimper a St Trif en grosse histoire de se mettre alaise sur le cayoux humide et sentir un peu la frictions des chaussures. Nous avons bien rigolé. ça a laissé au ciel le temps de s’éclaircir.
Le groupe était motivé alors nous sommes monté au Gais Alpins.
C’était parfait.
ça nous a bien fait plaisir.
2 cordées de 2.
Chiffre parfait.
Les participants étaient très content et moi aussi.
Journée en semaine très réussie.
Voila.
voila voila,
Mauvaises condition ...
Sa 17 août 2024
Dépasser la peur de la chute et engagement mental
La meteo de ce weekend aura forcé à opter pour une solution de replis à la salle de Villeneuve, mais Vincent Hentsch (mouskif.ch) a comme toujours proposé un programme de qualité à ses participants.
Pour reprendre les mots de l’un d’entre eux :
“Le matin école de vol très progressif avec au début en moulinette avec de plus en plus de mou et puis en tête! Finalement c’est égal c’est juste la peur irrationnelle d’etre en tête!
On a grignoté un pique-nique en 30 minutes et on est reparti!! Vincent est au taquet
L’après midi on a appris les 3 phases se reposer, réfléchir et prendre une décision!
Ensuite on a appris à être en mouvement ! Toujours avec 3/4 principes: visualiser les prises, respirer et avancer en continu toujours avec la conscience de son corps
Le mantra du cours :
- quand tu te reposes, repose toi
- quand tu grimpes, grimpes
Également on a appris à vivre l’instant présent, de ne pas se faire envahir par le doute du futur et d’avancer”
Si le cours n’a pas été simple a remplir cette année, et a nécessité de contacter d’autres sections de la région pour le compléter, les nombreux messages de remerciements de la part des participants sont une grande satisfaction pour les organisateurs du cours !


Sa 17 août 2024
Gross-Bigerhorn
Annulé
Annulé
...Di 11 août 2024
Dent de Fenestral, arrête O
11.08.2024 : Dent de Fenestral arête O
C’est donc sur le parking Pinocchio un dimanche matin à 8h que se sont retrouvés Philippe, notre chef de course, Charlotte et David. Deux annulations ont eu lieu, c’est la vie hein !
De mon côté, Aline, je vadrouillais déjà en Valais et j’ai dormi dans mon caddy aménagé à deux pas du « pas », parking où nous nous sommes retrouvés vers les 9h du matin.
C’est ainsi que dans une bonne chaleur étouffante nous sommes montés au col de Fenestral, avec pour objectif la Dent de Fenestral. La montée se fait donc bien sentir et nous arrivons en sueur au col. Le temps de manger quelques blévita ou darvida (selon qu’on est migros ou coop) avant de mettre le baudrier.
Les cordées seront les suivantes : David et Charlotte, Philippe et moi.
De mon côté, j’ai une appréhension au vide et j'ai l’habitude d’être seconde. C’est pourquoi je demande à Philippe de leader toute la course. David qui pratique avec son père et Charlotte qui a effectué la formation alpi de 4 jours au CAS iront en réversible pour pratiquer les apprentissages ! Je suis admirative !
Philippe partira donc devant, cherchant à tout prix à monter sur les dalles de gneiss et de liquen. Le rocher est magnifique ainsi que la vue que nous avons là-haut. Et, pas des moindres, aucune cordée devant nous si ce n’est au sommet, ni derrière nous !
Après deux longueurs, je réalise que j’ai la demi-dégaine de Philippe. La partie corde et l’autre dégaine a disparu ! C’est la première fois que ça m’arrive de perdre du matériel et surtout, sans m’en rendre compte. Entre temps, Philippe aperçoit sur le chemin un bout de dégaine. Il appartient à un friends que quelqu’un a laissé là dans la voie. S’en suit le débat que si on a laissé du matériel, bien heureux sont ceux qui le retrouvent !...
Mais impossible de tirer sur le friends, ce beau friends flambant neuf et bleu restera dans les entrailles du gneiss de la Dent de Fenestral.
Bref, il est temps de revenir sur le fil de l’arête et affronter ce passage dans la vide pour moi qui me fait peur. Le pire, c’est que je l’ai déjà fait et je ne me souviens plus comment… Je finis par me contre assurer avec une dégaine, l’enlever après avoir fait le pas. Ma fois !
David et Charlotte prennent le feuillet avec élégance et continuent en toute sérénité derrière moi.
Un autre pas ne me rassure pas et là je suis en plein shooting photo devant par Philippe, derrière par Charlotte. J’espère qu’on y lira la crispation sur mon visage !
Nous sommes quasi arrivés au sommet que Philippe me propose d’aller jusqu’à la croix seule. Si si, j’affronte ma barrière mentale et pars mettre mon premier friends et y glisser la corde dans la dégaine. Ça se fête non ?!
Arrivés à la croix, un relai s’y impose. Charlotte m’a suivi pour m’encourager de toutes ses cordes vocales avec bienveillance. Un demi nœud d’amarre que me remontre Charlotte et je le refais une fois ou deux avant de le crocher dans le mousqueton rose relié à la croix, tenu par une sangle. C’est pas beau ça ?
Les hommes arriveront donc, par galanterie, en second. La génération 2024 est belle ! Nous saluerons par la même occasion les 40 ans d’années de chef de course de Philippe. Il mériterait bien une bonne bouteille de rouge plutôt qu’une inscription à vie dans une salle de Fitness (c’est qui déjà qui gagne ça, Charlotte ?).
A la Croix, un petit pic nic s’impose ainsi qu’un tri du matériel. La chaleur reste omniprésente et malgré les orages probables annoncés qui ne viennent pas, il est l’heure de descendre ! Deux rappels s’imposent. Philippe me rappelle bien de regarder où sont les cordes qu’elles ne se coincent pas. Ça c’est bon, je gère !
On arrive donc au sentier et il nous reste qu’à crapahuter sur trois quatre cailloux et deux trois névés avant de revenir au col.
La descente sera interminable pour ma part car je ne fais que de penser à tremper les pieds au lac. (Oui, bon, faudrait pas que je descende le Weisshorn alors…)
Un petit stop pour boire un jus (bière ou coca ou diabolo menthe pour les filles) à Finhaut et débattre sur les autorisations et iinterdictionsde bivouac en Suisse et ailleurs. Il faudrait poser la tente à un minimum de 2400 m, selon Philippe. Chose que j’ignorais ! Par contre, je suis au courant qu’il y a des zones de tranquillité accessibles visuellement sur suissemobile ou sur zone-de-tranquilite.ch. Nous blablaterons encore un peu avant de se séparer pour de bon à Finhaut.
Il est l’heure pour moi de tremper mes pieds au lac (j’en rêve depuis samedi matin) boire une IPA, manger un burger, en regardant les femmes sirènes se dandiner sur le caillou en maillot de bains. Ici, aucun risque de chute de pierre assuré !
Cordialement,
Aline Metry








Sa 10 août 2024
Cours "Pose de friends et coinceurs" à Emosson
La pose de friends et de coinceurs, un sujet passionnant sur lequel Nicolas Vuadens, guide de haute montagne, a proposé cette année dans le programme Section, en grande nouveauté, un cours de perfectionnement.
Le choix du lieu s’est porté sur la région du lac d’Emosson, dont le granit de haute qualité offre de nombreuses fissures, propices à la pose de protection amovibles. La première journée s’est déroulée dans une falaise école, dans laquelle trois belles fissures non-équipées ont permis une entrée en matière idéale à l’escalade en trad. Maîtriser les bases de la pose de protection et gagner en confiance dans la pose de ce matériel, voici quels étaient les objectifs de la journée.
Une fois les bases posées, le programme du 2ème jour a consisté en une longue voie partiellement équipée nommée « Paloma Bianca » (et conseillée par le légendaire Michel Piola). Les quelques longueurs de cette voie on permis une mise en application idéale, avec des longueurs allant jusqu’au 5C.
Un grand merci à Nicolas pour le soin apporté à l’organisation de ce cours, qui n’a pas manqué de répondre aux besoins de tous les participants !






Ve 9 août 2024
Les Becs Noirs - Arête N
Vendredi dernier, 6 membres de la section se retrouvaient dans la région du Grand Saint Bernard pour la traversée des Becs Noirs, une course comprenant 4 longueurs de grimpe, un peu de marche, encore une longueur de grimpe et un parcours d’arête pour atteindre le sommet principal. Merci à Thibaut pour l’organisation de cette course dans un panorama superbe!





Je 8 août 2024
Animation
Qui l’eut cru ? Ce jeudi à 11h, brouillard au col de Jaman. Impossible d’apercevoir les filets des ornithologues. L’organisatrice, accompagnée de son petit-fils, s’acheminent sur le chemin qui mène au chalet avec de lourdes charges. Un record (pas seulement aux jeux olympiques) 23 personnes inscrites pour cette soirée qui, espérant le, pourra se tenir sous un ciel dégagé.
En attendant, nous préparons le chili con carne, la ratatouille, la crème au chocolat et la salade de fruits. A 14h, Bernard (membre de la commission du chalet de Jaman) nous rejoint avec ses deux petits-fils et finissons de couper les fruits.
Maintenant que les renforts sont là, nous aménageons la terrasse pour recevoir nos hôtes. Grande et petite tables, bancs, parasols. Petit à petit le brouillard se lève, pour laisser apparaître un soleil radieux (merci là-haut). Juste avant de rejoindre le col pour accueillir nos invités, nous coupons nos petits légumes, salami, et viande séchée (et hop au frigo) pour l’apéro. Maintenant tout est prêt pour les régaler.
Il fait un temps magnifique et chaud. Tout ce petit monde papote de droite à gauche, fait connaissance et surtout admire la vue depuis la terrasse (c’est la plus belle vue du lac Léman du canton de Vaud 😊).
Notre animateur Gilles Carnal est arrivé avec un grand sourire, il est ravi d’avoir autant de monde pour son spectacle. Mais il faut bien attendre 21h45 avant que cela commence. Néanmoins nous profitons du magnifique coucher de soleil de 20h54 précis, comme annoncé par Yvon, chef de course de la Section. Quelques personnes enfilent le pantalon, le pull chaud car à 1'500 mètres, une fois le soleil couché, il fait frisquet. D’autres profitent d’aller faire la vaisselle (un grand merci à vous toutes et tous).
Le groupe se déplace au col pour une vue plus grande du ciel avec, lampe frontale pour le chemin bousé par les vaches et une paire de jumelles. Nous apercevons une toute petite lune orangée qui tire sa révérence pour se cacher derrière les montagnes. On reconnaît : la Grande Ours, la Petite Ours, puis l’étoile brillante orangée Arcturus, qui constitue avec Spica et Régulus le triangle du printemps. Nous apercevons également Véga, qui est la cinquième étoile plus brillante du ciel et avec Deneb et Altair, toutes trois, forment le triangle d’été. Nous avons la chance d’observer également une pouponnière (= amas de poussière où naîtront des milliers d’étoiles). Entre deux, nous apercevons quelques petites étoiles filantes et surtout un nombre incroyable de satellites et d’avions qui traversent le ciel. Nous pouvons observer à l’œil nu, la Voie lactée qui passe sur nos têtes et se dirige vers les Rochers de Naye en se divisant en deux bras. Cerise sur le gâteau, Saturne apparaît au-dessus de la Dent de Corjon, hélas cette année et l’année prochaine, cette planète n’est pas dans la bonne position pour bien voir son anneau. Néanmoins toute la foule est heureuse de la voir et peut soit retourner au chalet ou redescendre en plaine.
Un chaleureux remerciement à Gilles, à toutes les participante: Yolande, Nol, Madeleine, Sylvia, Leila, Catherine, Hélène, Caroline, Isabel, Mégane, Céline, Martine, et à tous les participants: Théo, Nathan, Valentin, Clément, Yvon, Christian, Bertrand, Romain et Bernard.








Sa 27 juil. 2024
Travaux - Bivouac de la Dent Blanche
Notre cheffe de course et son adjoint nous ont préparé une sortie construite sur
plusieurs étages : un premier floral, un second minéral et un troisième glaciaire.
Départ de Ferpècle à 8h avec distribution d’oreillers fraîchement lavés et recousus par Mireille, à remonter au bivouac. Ainsi, nos sacs et nous-mêmes sommes gonflés à bloc pour entamer la montée.
Après six bonnes heures de marche, nous arrivons au bivouac de la Dent Blanche.
Nous nous requinquons avec un apéro : fromages, olives, crudités de légumes, pain, agrémentés d’une petite sieste au soleil pour certain.e.s d’entre nous.
Nous nous rappelons alors que nous sommes là pour travailler… Nous érigeons donc un mur pour délimiter clairement la zone dangereuse qui mène aux toilettes du bivouac, sous la conduite experte de nos architectes en chef.fe. Nos quatorze bras à
l’œuvre permettent d’obtenir en une heure un mur d’une vingtaine de mètres un peu en retrait de fissure qui est en train de s’ouvrir dans le terrain. Nos chef.fe.s font alors appel à leur indéniable talent artistique, calligraphique et linguistique pour peindre en
rouge sur la pierre quelques « x », « DANGER » et autres « Achtung ».
Cette besogne terminée, nous allons chercher l’eau du névé fondant pour préparer la
polenta aux champignons qui nous calera toute la nuit. C’est tellement délicieux que certain en garderons une portion au frais pour le petit déjeuner du lendemain…
Dimanche, deux courageux se lèvent avant l’aurore et partent après l’averse pour la traversée du Grand Cornier. Les cinq autres font une mini grasse matinée et
redescendent sur Ferpècle. Un arrêt réhydratation au Petit Paradis marque la fin de ce magnifique week-end.
Un grand merci à Anastasia et Robin pour l’organisation. Merci à toute l’équipe pour les moments de partage et la bonne ambiance. Au plaisir d’une prochaine aventure en montagne.








Sa 20 juil. 2024
Traversée des Perrons
Un menu 5 🌟
Tempête de ciel bleu, 3 cordées composées de Thomas et Justine, Thibault et Olga, Anne et Ariane
Belle ambiance, décor grandiose qui nous a fait patienter dans l attente des rappels … On était pas seuls 😅
Grimpe ludique, y a du gaz, du beau rocher, on s’est régalé !
Merci Thomas pour l organisation 🙏🏼
Ariane






Ve 12 juil. 2024
Traversée du Blanc de Moming (3661m)
Notre belle aventure commença ce vendredi 12 juillet par un trajet en train puis en bus au départ de Vevey vers 7h30 pour arriver à Zinal vers 10h. Les prévisions annonçaient une pluie certaine (plutôt intense par endroits). Mais c’est par bonheur que notre groupe de 6 mené par notre chef de course Ewan avons entamer notre périple sous un ciel certes couvert mais tout de même ensoleillé (nous avons même sorti la crème solaire). Ce n’est qu’après les 300 premiers D+ que la pluie se manifesta. C’est donc dans la brume et « à la fraîche » que nous avons grimpé les 1000MD+ restant jusqu’à la cabane. Sentier exigu qui longeait le Besso (qui nous était alors caché), constitué sur la dernière portion de pierriers et de névés. Nous avons même traversé un magnifique pont suspendu au-dessus d’une cascade mais dont les nuages nous en cachaient la profondeur. Pont que nous traverserions le lendemain avec cette-fois tout le beau nécessaire pour en contempler les alentours.
Nous sommes arrivées vers 14h15 à la jolie cabane du Grand Mountet situé à 2886m. Toujours dans la brume et sous la pluie. Nous avons pris plaisir à finir notre dîner au chaud tout en savourant un bon thé à l’hibiscus et de bon gâteaux maison servis par des gardiens passionnés et très accueillants.
Nous étions 3 groupes dans cette cabane, soit une quinzaine d’alpinistes sur une centaine de places disponible. C’est donc avec bonheur que certains ont pu se ressourcer par une bonne sieste en cabane (fait plutôt rare). Vers 17h nous avons découvert les alentours et les nuages s’étaient dissipés pour laisser apparaître les magnifiques sommets environnants et leurs glaciers. Nous avions une vue imprenable sur la Dent Blanche, le Grand Cornier, le Roc Noir et en marchant un peu le Zinalrothorn nous dominait de ses 4221m. Nous avions pour seul fond sonore, le bruit des glaciers, l’eau qui s’écoule avec résonance à travers la glace. Je ne me suis, pour ma part, rarement sentie aussi petite et humble.
Après un bon souper et une bonne nuit nous sommes partis le lendemain vers 5h45 au petit jour. Nous avons rapidement atteint le début du glacier, mis nos crampons et nous sommes encordés. Nos 3 cordées ont bien progressé sur le glacier du Mountet qui était parfois truffés de «crevasses» que nous avons contournés mais qui procuraient tout de même un sentiment d’appréhension et de profonde humilité. Nos 1ers de cordées, très concentrés, ne s’en sont pas sentis déstabilisé et nous ont très bien guidé sur cette «immensité blanche».
Après avoir (enfin) atteint le col au début de l’épaule du Zinalrothorn, nous découvrîmes cette magnifique arête du Blanc de Moming toute enneigée (non tracé !) mais où perçait ces amoncellements de roche paraissant si instable mais pourtant plutôt fiable une fois le crampon posé dessus.
Notre progression à moitié sur neige et sur rocher débuta. Tout un exercice où l’arête est notre seule repère, ancrage, qu’il ne faut jamais quitter des yeux. C’est donc avec force de concentration que nous avons enchaîné des progressions tantôt de côté (un pied neige, un pied roche), debout avec les pieds à la Chaplin, et même à califourchon. Mais mon souvenir le plus « adrénaline » reste la partie où chacun se crante dans la glace et progresse de part et d’autre de l’arête. Expérience inoubliable. Impossible de profiter pleinement du paysage car l’heure n’est pas à l’admiration mais à la sécurité. Cela n’a rien enlever au plaisir, bien au contraire (bien que cela soit venu une fois l’arête vraiment passée).
A coup de piolet et de cramponnage dans la glace, nous sommes parvenus au bout de l’arête enneigée mais au début de l’arête rocheuse à 3640m. C’est alors que nous croisâmes nos compagnons français de la cabane. Ils ont pris une arête alternative en sens inverse et ont tenté de contourner par notre arête. Mais nous apprîmes plus tard ou nous supposions qu’ils n’en ont rien fait. De sûr un guide et sont client nous ont recroisé en sens inverse en saluant l’exploit car ils ont, eux, préféré rebrousser chemin.
Nous n’avons pu que saluer la démarche d’Ewan d’avoir planifié la course en ce sens, qui nous a permis de profiter pleinement de la dureté du glacier et de l’arête au petit matin.
La descente de l’arête rocheuse se fit sur son fil. Vigilance constante car le bon passage n’est pas toujours si évident à deviner. Nous avons terminé la descente par un petit rappel et avons retrouvé la cabane vers 15h. Pause-café/gâteau oblige afin de se ressourcer avant les 1300D- à effectuer avant 19h22 heure à laqelle nous avons pu attraper le bus. La descente bien que soutenu fut riche en paysage. Tous ceux que nous n’avions pu admirer la veille. Composés à la fois de roches brutes , de coteaux fleuris à souhait le tout traverser par de petits ruisseau comme des rivières redoutables (à faire vaciller les ponts !). De quoi se donner du baume aux genoux pour la dernière ligne droite.
CAS Jaman ne se quitte pas sans un pot ! que nous avons eu sur les quais de la gare de Sierre !
Merci à tous mes compagnons : Ana Maria, Silvia, Kevin, Lourenco et bien sûr Ewan, super chef de course. Très patient et pédagogue. Personnellement, c’est ma première sortie « alpine » cette année et j’ai eu l’impression d’avoir vécu et appris l’équivalent de tout un été ! J’en ressors grandie et des souvenirs riches en émotions.
Merci à tous !
Merci Ewan !








Sa 29 juin 2024
Deux jours sur les crêtes et dans les plis du Jura
Vivien très enthousiaste nous confirme le rdv de la course pour samedi matin tôt gare de Vevey.
Ne voyant personne à l’heure dite sur le quai, je me dis: Trompée d’heure???
Mais non, je retrouve le joyeux groupe -l’autre Pascale, Frédérique, Gladys et Vivien- prenant le café sur une terrasse en face de la gare… Finalement, météo trop risquée ☢️ ( orages degrés 4 prévus dès l’après midi) !
Changement de direction, pour un but plus local : Mont Chesau et Mont Pèlerin!
Le temps est très lourd … les vaches allongées… tout prédit le mauvais.
Sur le trajet, nous entreprenons différentes études: champignons 🍄🟫, roches « poudingue » et comparaison de desserts à la buvette du Mont-Chesau ( excellentes !😛) !
Ensuite, direction le sommet du Mont-Pèlerin avant de descendre prendre un dernier verre très sympathique chez Vivien et Gladys !
Merci infiniment Vivien d’avoir réalisé une course si conviviale malgré une météo très incertaine… un vrai challenge relevé avec brio !!! C’était très réussi 👌👏👏👏Pascale Petiet Bauer








Sa 29 juin 2024
Les Diablerets, par le Pas du Lustre
Notre course a débuté le vendredi après-midi au lieu du samedi car un souci de réservation nous a forcé à modifier nos plans.
Voilà donc notre équipe - constituée de 6 alpinistes (jeunes et moins jeunes) - partie depuis les Diablerets sous un soleil radieux. Nous arrivons en début de soirée à la cabane de Pierredar où nous passons une agréable soirée et profitons d'un superbe couché de soleil.
Le lendemain, au petit matin, nous attaquons la traversée du glacier de Pierredar, accompagnés d'un foehn puissant qui ne nous lâchera pas de la journée... Qu'à cela ne tienne ! Nous remontons le glacier, traversons une barre rocheuse, rejoignons le col du Refuge et continuons jusqu'au très joli Pas du Lustre. Après quoi, nous atteignons sans difficulté le sommet des Diablerets. Bien que "sans difficulté " ne soit pas le terme exact car le foehn continue de nous bousculer ! Nous décidons de ne pas traîner et de redescendre le glacier des Diablerets avec comme objectif la cabane des Diablerets. Après un délicieux brownie, nous nous remetons en route vers la plaine. Le vent (encore lui) nous oblige à redescendre à pied sans prendre la cabine. Le bus nous ramena ensuite sans encombre jusqu'aux véhicules.








Je 20 juin 2024
Cours pour 1er de Cordée
Le cours 1er de cordée a eu lieu cette année à la Weissmieshuette.
Le programme prévu par Jean-François Savary et Jérôme Henchoz s’est vu quelque peu chamboulé par la météo pluvieuse, mais leur ingéniosité a permis de tirer le maximum de ces 4 jours en montagnes, alernant instruction théorique et pratique.
La mise en pratique s’est d'ailleurs faites via une course peu courue, l'arête dalleuse du Schwarzmies, qui a permis aux participants de mettre en pratique les techniques de longue voie, la pose de protection amovible et les rappels.
Le dernier jour du stage, l’isotherme bas nous a fait le cadeau de chutes de neiges durant toute la matinée, donnant une saveur hivernale à nos exercices de progression en corde courte et en micro-longueurs, ayant eu lieu sur les flancs du Jegihorn.
Merci à nos guides et à tous pour ces 4 jours enrichissants !








Di 16 juin 2024
Le Grammont par Alamont
Ce dimanche 16 juin, la météo était clémente pour monter au Grammont. Nous avons pris finalement le chemin depuis le parking du Flon direction le Lac Taney ( la montée par Alamont était risquée avec les pluies des derniers jours). Un petit arrêt à Taney pour boire quelque chose et réserver une part de tarte pour le retour.
le soleil ☀️ sort et nous réchauffe durant la montée jusqu'au sommet, par contre ça soufflait beaucoup la haut.
Nous avons passé une agréable journée et la vue était très dégagée au sommet. Quelle chance!!
Ce dimanche 16 juin, la météo &ea ...
Di 16 juin 2024
Chambairy- Sur l'Enfer
Merci Sophie







