Jeudistes

Responsable

Roland Piguet
079 205 32 60 – roland.piguet@bluewin.ch

Les mercredistes sont les bienvenus

Les jeudistes II voyagent en principe avec les jeudistes I (même billet de groupe). Ils bénéficient d’un programme restreint. Le chef de course des jeudistes II est désigné au moment des inscriptions. Dans certains cas cependant, une course séparée dans une autre région est prévue.

Explication du "R": repas dans un café (localité en MAJUSCULES)

Liste des courses

Arpelistock (3035 m)

En ce mercredi matin 29 juillet, nous sommes 10 bien décidés à défier l'Arpelistock…..gros 'stock' qui se profile au lointain…. Mais devant...que de nombreuses bosses à gravir!!!! Heureusement, le temps qui se lève est très agréable et nous permet de randonner sans souffrir de la chaleur.

La vue de partout est impressionnante, au fur et à mesure que nous nous élevons…..

Je ne vais pas m'étendre sur un grand récit! Erika qui a mis de nombreuses et belles photos a fait un commetaire pertinant pour chacune.

Ce qui ne se voit pas sur les photos, c'est que chacune (je ne parlerai pas des messieurs du jour qui sont de vrais chamois!!!...) a testé ses possibilités et limites et était contente est satisfaite de cette magnifique journée!

Un grand merci à François pour l'organisation  et à Erika pour les photos!

Sylviane.

Imaginez un chameau avec ses deux bosses, puis un chameau long avec de multiples bosses, ce chameau est assis sur son train arrière, les deux pattes et la tête bien droite. C'est ça l'Arpelistock.

Voilà sur quoi un groupe de mercredistes s'est lancé. Au départ de Vevey le plafond était bas, idem à Conthey, ce n'est que dans la montée au Sanetsch que les nuages se sont entre-ouverts et, oh miracle !, au col un ciel totalement dégagé. Nous n'étions pas les seuls, mais les autres randonneurs se rendaient du côté de Pra-Rochet.

Et voilà nos mercredistes de grimper sur l'échine du chameau par ces bosses jusqu'au dernier replat avant l'assaut final. D'aucunes préfèrent aller voir les Grandes-Gouilles et faire une reconnaissance du côté du Sublage, sommet facile qui pourrait être mis au programme.

Pour les autres, la véritable grimpée commence, d'abord aisée, mais bientôt le chemin s'avère raide, couvert de gravillons instables. Le dernier couloir n'est pas très engageant avec des vires inversées et toujours cette caillasse. Bruno s'y lance, il tient à voir cette frontière cantonale et linguistique, et sera le seul à atteindre le sommet. Les autres redescendent sans regrets vers un replat pour pique-niquer, puis pour rejoindre les autres participants.

Temps surprenant et superbe, vue bien dégagée, de quoi satisfaire tout le monde. François